S.O.S. Sorcières (1)
Datte: 23/12/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: Victor_lepieux, Source: Xstory
... portaient le corps hors de la chambre. Puis Delphine reprit contact avec la réalité, elle se trouvait à nouveau dans le présent, dans la chambre à coucher alors que le fantôme du mari mort attaquait ses amies. Elle repartit immédiatement en bas… Elle connaissait le fonctionnement des âmes, et savait ce qui lui restait à faire.
Pendant ce temps en bas, Claire reprenait conscience après avoir été jetée à travers la pièce… En face d’elle il y avait son amie Delphine, elle avait les yeux exorbités. De l’ectoplasme gluant recouvrait sa peau. Elle voyait sa chatte se faire pénétrée, du liquide puant s’en échappait. La quantité semblait bien supérieure à ce que l’esprit lui avait fait endurer. Elle savait comme c’était horrible, la substance gluante qui s’infiltrait en elle, remplissant ses orifices, elle avait un peu honte, mais elle en avait d’abord éprouvé du plaisir… Mais rapidement elle avait pris conscience de la texture gluante de l’ectoplasme, cette abomination post-mortem, qui envahissait son entrée privée. Comme si du pus décomposé s’enfonçait en elle. Rien que de repenser avoir été touché par ça, elle avait envie de vomir.
Elle s’approcha de son amie, tentant de lui apporter son aide, mais à quelques mètres d’elle, elle fut stoppée par un mur. Il ne lui fallut pas longtemps pour comprendre ce qu’avait voulu faire sa consœur. Et elle comprenait aussi que ça avait mal tourné, maintenant le fantôme était en train de passer sa fureur sur Julie. L’ectoplasme puant ...
... maculait toute la peau de la sorcière. Son trou du cul était ouvert et de la matière verte infiltrait même dans son fion. Claire était épouvantée. Le fantôme l’avait juste pénétré, son amie se faisait complétement remplir par cette horreur. Et de plus en plus de liquide s’enfonçait en Julie.
Elle était horrifiée, mais aussi captivée. Julie semblait souffrir atrocement, mais il y avait aussi une lueur de plaisir. Claire se rappela comme la substance visqueuse faisait réagir toutes les parcelles de peau qu’elle touchait dans un maelström de dégoût et de plaisir. C’était dégoûtant, mais on éprouvait une forme de plénitude aussi bien physique que morale. On se sentait entièrement soumise à l’entité surnaturelle, comme si on n’était qu’un jouet pour elle. On trouvait enfin sa place dans l’univers, on se rendait compte qu’on était que de la merde, qu’être en vie était sale alors que la mort était sublime, on voulait se faire dégradé, se faire englober par la putrescence, c’était tout ce qu’on méritait... Il fallut que Delphine tape sur l’épaule de Claire pour qu’elle lâche sa copine des yeux.
« Viens ! Il faut aller à la cave ! » lui cria Delphine.
Claire la suivit sans plus attendre. Elles descendirent quatre à quatre les escaliers jusqu’à arriver dans le sous-sol de la maison.
— Delphine, qu’est-ce qu’on fait ici ! On doit remonter aider Julie ! s’exclama Claire.
— D’abord c’est Morticia... Ensuite, le corps du mari de cette pute d’Hauvert est enterré ici. C’est elle qui ...