Jérôme m'invite chez lui - Histoires de Sexe

Jérôme m'invite chez lui

... de mon caleçon, me repousse légèrement sur le lit. Je ne résiste pas et me couche en travers du lit, m’abandonne aux caresses et aux lapements de Jérôme, qui m’embrasse encore, me mordille les seins, flaire mes aisselles inondées, les lèche, se repaît de ma sueur. Puis il descend vers mon ventre offert, écarte délicatement mon sexe de mon caleçon, qu’il fait disparaître. Je suis nu sur le lit, à la merci de mon amant qui continue à me dire des cochonneries :

— Hmm, quelle belle queue, elle est bien dure, j’adore ton gland, en plus tu commences déjà à mouiller, petite salope.

L’insulte, si inattendue de sa part, me fait tressaillir de plaisir. Il me branle doucement de sa main droite, tandis que la gauche vient flatter mes couilles.

— Tu es très poilu, j’aime ça…

Il crache sur mon gland, puis mêle sa salive à mes propres sécrétions pour me caresser le haut du sexe, me faisant crier pour la première fois. Je n’ai jamais été aussi excité. Mon bassin se met à onduler.

— De quoi tu as envie, petite pute ? me demande Jérôme en serrant très fort ma bite, à la limite de la souffrance.

Il a immobilisé sa main et, sans lâcher mon sexe, vient se pencher sur mon visage.

— Sors ta langue, petite cochonne.

Personne ne m’a jamais traité ainsi, ces mots cent fois entendus dans les films pornos que nous avons parfois regardés ensemble me mettent en transe, je me sens devenir sa chose, il pourrait m’ordonner n’importe quoi. Je sors docilement ma langue et il vient la ...

... sucer, il me fait goûter à ma propre transpiration, il me masse les couilles puis me fait lécher ses doigts, je m’entends gémir de nouveau, lui dire à mon tour des trucs sales.

— Oh oui, je suis ta salope, ta pute, branle-moi, fais-moi jouir, j’ai envie que tu me suces…

Il fait semblant de ne pas avoir entendu, continue de me pincer les seins. Il me fait vraiment mal à présent, me tord les bouts. Je me mets à trembler. Je sens ma bite qui frotte contre les poils du ventre de Jérôme, mon gland chauffé à blanc est devenu hypersensible et ce seul contact suffit à me faire crier de nouveau. Jérôme à présent fourrage sous mes couilles, il me force à relever les jambes, son index se fraie un chemin entre mes fesses. Je me raidis, craignant la douleur.

— Tu as un beau gros cul, tu es une vraie chienne…

Son doigt ne va pas très loin, juste à l’entrée de mon anus, puis, comme je l’espérais, il me le fait sucer.

— Allez, salope, lèche bien, je suis sûr que tu aimes ça, tout à l’heure tu viendras me lécher le cul.

Je suce consciencieusement le doigt qu’il me tend.

— Allez, je veux que tu me supplies… Demande-le moi encore…

Il tire presque méchamment sur les poils de mes couilles.

— Alors ?

Je le regarde dans les yeux et lui dis :

— Suce-moi la bite, s’il te plaît, je t’en supplie, j’en ai tellement envie, fais-moi juter, je n’en peux plus…

Il me sourit vicieusement, d’un sourire que je ne lui ai jamais connu, et sa tête redescend lentement le long de ...