1. Une robe bleue et un mollet galbé


    Datte: 23/03/2018, Catégories: fh, hplusag, inconnu, hotel, voyage, amour, Oral pénétratio, Auteur: Malex_Julien, Source: Revebebe

    ... petite que moi, et ton épaule s’appuie sur ma poitrine. Tu pivotes un peu vers moi et de ma main droite, j’attrape ton mollet pour l’amener sur mes genoux. Premier contact avec ce mollet, à nu, sans bas. Tu frissonnes nettement et la chair de poule pique la peau de tes bras. Tu as maintenant tes jambes en travers de moi, sur mes genoux et ton baiser est fougueux, immense. J’ai, depuis que nous nous sommes dirigés vers ce banc, une érection qui ne cesse de forcir. Je sais que le désir est là, incontrôlable, irréductible. Je pense soudain que tu dois toi aussi mouiller et cette vision m’envahit d’une chaleur immense.
    
    Sans doute as-tu senti tout cela en moi et au plus profond de toi car tu te redresses et me dis :
    
    — Las, les minutes renouvelables sont épuisées. J’y vais. Je sais que tu sauras m’écrire et me retrouver. À bientôt ?
    
    Et d’un pas preste tu files dans les allées ombragées alors que je reste assis, dans un état de bonheur et de frustration immenses. Et bientôt je me sens bête, de t’avoir laissé filer. On ne laisse pas partir une jolie femme qui vous a si bien embrassé. Je n’ai même pas ton téléphone…
    
    Cette fois je n’ai pas attendu longtemps. À peine quelques heures d’après-midi et je t’envoie ce mail :
    
    Les heures sont longues et pourtant je ne doute pas. Tu seras là. Une douche, un polo, un peu de parfum et je sors. Le vieux Paris est magnifique sous cette lumière des réverbères. Et Notre-Dame, si droite, si finement découpée, là devant moi. Je marche ...
    ... en évitant les touristes et les vendeurs de babioles. Je suis encore en avance. Et puis soudain, ta silhouette qui s’avance. Tu as changé de robe. Elle est bleu-nuit et une veste blanche légère l’accompagne.
    
    Nous marchons l’un vers l’autre. Tu es belle, souriante. Plus nos pas nous rapprochent, plus on ralentit. C’est si magique l’instant de la rencontre. Et puis tu es là et je t’attrape par la taille et t’attire à moi. Nos langues se retrouvent dans une frénésie folle : elles avaient encore tant à se dire. Mais déjà je te prends la main et nous marchons vers l’île Saint-Louis, nous éloignant du tumulte touristique. L’île possède des rues plus calmes et surtout des parapets sur la Seine, comme une loge d’orchestre, un peu privative, ouverte sur la rivière où se mirent les façades des hôtels particuliers du 17ème siècle. La vue est belle, si romantique. Je te plaque sur la rambarde de pierre à côté d’un saule dont les branches pleureuses nous font comme un baldaquin. J’ai envie de te respirer, de me laisser envahir par ton odeur, de t’enserrer.
    
    Tandis que nos bouches se retrouvent, je pèse de mon corps contre le tien. Je veux que tu me sentes, que tu sentes ce désir que j’ai pour toi, que tu sentes mon sexe tendu. Mes mains parcourent ton dos et s’amusent avec l’attache du soutien-gorge à travers le tissu de la robe. Elles te soulèvent un peu et te forcent bientôt à t’asseoir sur la rambarde. Je profite de ce mouvement pour t’écarter les jambes et m’insérer entre elle. Tu ...
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