1. Ma-Pi au labo du Sart-Tilman


    Datte: 23/12/2019, Catégories: fh, couleurs, Collègues / Travail Oral pénétratio, journal, extraconj, Auteur: Single H, Source: Revebebe

    ... mouvement une musculature souple. Moi, comme d’habitude, je me sens mal fagotée. Quelle idée, ce jean qui fait ressortir encore plus mes grosses cuisses… et ce bustier dont les bretelles ne pensent qu’à s’enfuir !
    
    La voix de Djidji est suave et, peu importe ce qu’il dit, je n’en retiens que la musicalité. J’ai trop bu, comme toujours… le vin me tourne légèrement la tête.
    
    Ai-je bien compris ? Djidji vient de me dire qu’il a envie de me faire l’amour. Reprends-toi Ma-Pi, tu divagues.
    
    — Pardon ? m’entends-je lui demander.
    — Ma-Pi, j’ai envie de toi. Deux ans que je suis ici, sans femme et, depuis l’année dernière, depuis que tu travailles dans ce labo, pas une nuit où je ne pense pas à toi, où je nous imagine faisant et refaisant l’amour. Ma-Pi, j’ai envie de te faire l’amour.
    — Ici ? Sur la table ?
    
    Je prends un air que je veux langoureux. Je veux savoir jusqu’où il peut m’emmener…
    
    — Pourquoi pas ? Ce serait amusant. Mais si tu préfères, mon studio est juste en face, répond-il dans un grand sourire.
    
    Nous y voici donc dans son studio. Hormis un rien de vaisselle sur la table, tout est déjà rangé dans des caisses. Il n’y a pas de lit dans ce deux-pièces. Veut-il me prendre bestialement, à même le sol ? Légèrement ivre, cette idée me fait sourire, au moins je ne tomberai pas de la table.
    
    Pourquoi pas, après tout ? L’amour pépère, dans un lit, en position du missionnaire, j’y ai droit trois fois par semaine, juste entre le « Bonsoir » et le « Bonne nuit, je ...
    ... t’aime ».
    
    Je tourne sur moi-même et, dans l’élan, enlève mon bustier. Mon soutien-gorge suit ; ce qui me pose le plus de problème, c’est ce foutu jean… Je dois me tenir au dossier d’une chaise pour parvenir à le faire glisser des hanches ; Djidji s’en amuse. Il me prend par la taille et m’embrasse, doucement, sa langue frétille dans ma bouche. Il se recule, me regarde à nouveau et me déclare :
    
    — Quand tu auras enlevé ton string, je vais te baiser comme tu n’as encore jamais été baisée.
    
    Ce langage, cru, me surprend un peu, mais ne m’offusque pas. Il se dirige vers le sofa, presque seul mobilier de la pièce et déplie le clic-clac. Il se retourne, je suis entièrement nue.
    
    — C’est ici, fait-il en désignant le lit, que la gentille petite Ma-Pi va recevoir son cadeau… moi, en l’occurrence.
    
    Je le regarde droit les yeux, son regard me désarme… Cela m’excite.
    
    — Viens ici et couche-toi sur le dos… Écarte bien les jambes que je voie ton sexe, petite chienne blanche !
    
    Je lui obéis, totalement envoûtée… Pendant que je me couche, il se déshabille.
    
    Il s’approche du lit et, directement, caresse mon sexe. Son majeur droit trouve mon clitoris et le fait rouler… J’ai tout le corps qui prend feu. J’essaye de me redresser, mais Djidji me repousse, couchée sur ce lit. J’aimerais bien le voir, le caresser… Son majeur quitte mon bouton et s’enfonce, lentement, profondément dans mon sexe… Sa main gauche trouve un de mes seins et ses doigts emprisonnent le téton, le triturent… ...