1. Histoires de la Bienheureuse Agnès 03


    Datte: 22/12/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byDominiknic, Source: Literotica

    ... clitoris.... Agnès voyait que la blonde avait une très jolie fente, peu fournie et dont les poils blondinets restaient peu visibles d'où elle était, c'est-à-dire à 3 mètres environ. La jeune Hélène avait un clitoris très marqué, très ressorti et plutôt gros qui bandait très fort. Les lèvres fines et longues de sa vulve étaient également très développées et la main du garçon les caressait avec adresse...
    
    A la gauche d'Agnès, et vers le bout de la table, le Jacquot que l'on n'entendait plus depuis quelques instants, le pantalon sur les chevilles, la chemise ouverte sur un torse et un ventre très poilus, donnait à sucer une bite courte mais très large à Maria la portugaise, affalée au pied de la barrique. Elle avait la tête soutenue par son mari, dont elle branlait la bite. Ou plutôt dont elle avait la bite dans la main, c'est à peu près tout ce quelle pouvait faire tant elle était saoule! Pour ce qu'en voyait Agnès le portugais avait une verge assez petite, plutôt courte et pas grosse non plus. Il faisait sans doute partie des ''petites cylindrées'', voire très petites! Mais, d'où elle était, elle ne voyait pas très bien...
    
    Le Jacquot par contre avait un membre plutôt court, une quinzaine de centimètres de long tout au plus, mais d'une rare grosseur d'au moins 7 cm de diamètre, peut-être 8. Le vit était d'un beau diamètre comparé à sa longueur! Et surtout un gland court, en champignon qui dépassait d'un bon centimètre en surplomb tout le tour de la hampe, Ce gland ...
    ... faisait penser à un chapeau-casquette à très larges bords. Cette forme particulière du gland raccourcissait encore le membre, lui donnant l'impression plus grande de massivité...
    
    Le Jacquot promenait le bout de son engin sur la bouche, le menton le visage de la jolie portugaise qui n'en pouvait davantage et surtout, il s'amusait à lui promener de la même façon que sa bite, le goulot d'une bouteille qu'il tenait dans l'autre main, donnant à sucer à la femme, tantôt son gland, tantôt le goulot, parfois les deux ensemble. De temps en temps, il versait une goulée de vin de la bouteille dans la bouche de la femme qui avalait avidement. Le vin versé trop vite pour être bu, coulait et dégoulinait de la bouche rendue maladroite par l'alcool... La Maria avait la robe, mouillée et imbibée de jus de raisin, relevée jusqu'à la ceinture. Agnès eût la confirmation qu'elle ne portait pas de culotte, car les cuisses très écartées laissaient voir une chatte, brune et très fournie, que son mari lui branlait sans que cela eût l'air de lui faire beaucoup d'effets...
    
    La Bernadette s'approcha de la table où Agnès était immobilisée. Elle aussi maintenant était nue, et malgré son âge et ses formes généreuses, elle n'était pas difforme. Sa grosse poitrine était bien portée et ses seins encore très fermes avec des tétons bien ressortis et pas trop écrasés comme c'est souvent le cas après la cinquantaine, surtout chez ces paysannes qui ne prenaient en général, point trop soin d'elles... Ses fesses un ...
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