Le spermogramme
Datte: 22/12/2019,
Catégories:
fh,
alliance,
Auteur: Prince Actarus, Source: Revebebe
J’avais 27 ans et ma femme Sylvie 24. Après plusieurs essais infructueux pour avoir des enfants, nous avons fait appel à une clinique de fertilité. À la conclusion du premier rendez-vous, nous sommes revenus à la maison, ma femme et moi, avec un peu d’espoir… et un petit contenant vide à remplir de ma semence, pour ensuite l’expédier au labo pour fin d’analyses…
Je devais envoyer un échantillon de mon sperme pour savoir si mes spermatozoïdes étaient hors de combat. J’avais glissé le mot à Sylvie en lui demandant si on pouvait joindre l’utile à l’agréable, à savoir si elle ne pouvait pas me « donner un petit coup de main » (jeu de mots subtile ici…) pour venir à bout de cette difficile tâche. Elle m’avait répondu qu’on en discuterait un peu plus le moment venu.
Or, le matin arrivé, comme d’habitude, nous étions à la course. Je devais aller porter mon échantillon avant 8 h 30, qui devait avoir été prélevé dans un délai maximum d’une heure. Le temps de sortir du lit et Sylvie m’annonça qu’elle était déjà en retard pour le travail et ajouta avec un grand sourire moqueur :
— Tu vas devoir t’arranger seul mon chou, je dois vraiment quitter. Je suis vraiment désolée et puis, tu devrais savoir comment t’y prendre, je suis certaine que tu as déjà pratiqué, me dit-elle en m’embrassant et me tapotant doucement le sexe.
Puis, elle fila en coup de vent, me laissant seul avec mon contenant vide. J’en avais l’air idiot et surtout, je n’en revenais pas. Je gardais espoir ...
... qu’elle revienne, pour qu’on en rigole et qu’on passe aux choses sérieuses, jusqu’à ce que je la voie passer devant la fenêtre avec sa voiture et disparaître dans la circulation. J’allais effectivement devoir me débrouiller seul. Si au moins j’avais eu quelques minutes pour aller surfer sur le Web, histoire de m’inspirer un peu, mais non, je me devais d’être productif et sur le champ en plus, il était déjà 7 h 25. Et je ne comptais même pas les 15 minutes que je devais sacrifier pour effectuer le trajet jusqu’au labo. Bon, il fallait être rapide.
7 h 25. Drôle d’heure pour une branlette en solitaire. J’allais monter pour me diriger dans notre chambre, lorsqu’on sonna à la porte. Ah la petite comique ! Elle m’a fait vraiment peur la coquine ! Je me dirigeai à la porte pour ouvrir lorsque j’aperçu Christine, la sœur Sylvie.
Christine était assez grande, les cheveux longs bruns, avec un corps respectable et des seins vraiment jolis (du moins en apparence), pas trop gros. Bref, comme je les aime. Après les salutations d’usage, Christine me demanda si elle pouvait emprunter notre ordinateur, chose qu’elle faisait régulièrement, car elle n’en possédait pas un chez-elle.
— Aucun problème, Christine. Tu fais comme chez toi.
— Merci David, tu es vraiment gentil, j’avais vraiment peur que la maison soit déjà vide.
— Non, je commence un peu plus tard ce matin, car je dois…
Et c’est à ce moment précis que je me rendis compte que j’avais encore mon petit contenant vide à la ...