La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1091)
Datte: 21/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds
... mon cul déjà bien ouvert se détendait lentement un peu plus pour finalement laisser entrer ce mandrin… La sensation de ce phallus énorme s’enfonçant en moi, me dilatant si fort, fut explosive…
Je me mis à remuer en tous sens à nouveau, comme prise de tremblements incoercibles, je donnais moi-même des coups de cul pour m’empaler toute seule sur cette tige, que dis-je, tige, ce tronc qui maintenant glissait en moi me perforant littéralement… C’était dantesque, ma chatte abandonnée bavait comme une véritable salope… ma bouche elle-même n’arrivait plus à retenir ma salive. Sous les coups de boutoirs, mes seins ballottaient en tous sens, mon ventre était devenu un cloaque immonde, tandis que je sentais le monstrueux piston aller et venir dans mon fondement de jeune fille… Il me labourait profondément et j’aimais cette sensation terrible, cette impression d’être prise totalement, sans ne pouvoir rien faire pour m’en échapper… Une fois bien en place, et sous les yeux admiratifs des autres personnes, j’entendais les réflexions
- Tu as vu comment il est monté ?
- La petite salope, elle est bien remplie !
- Oui mais tu as vu comme elle l’a bien avalée aussi !
- Regarde-là, elle aime ça la garce !
- Il va l’exploser, oui !
Toutes ces remarques ajoutaient à mes envies qui ...
... à nouveau étaient reparties de plus belle, comme l’insatiable que je suis… Quand cet « extra-terrestre » que je ne verrai jamais, se mit à éjaculer en moi, j’eus la même impression qu’un lavement, tant il jute en giclées saccadées en nombre, quatre à cinq fois il me semble, et à chaque fois, j’avais l’impression très nette qu’en fait il urinait en moi tant ses jets étant longs… Je hurlais de rut, je criais de toute la force de mes poumons de femelle déchaînée, cette sodomie bestiale, cette saillie jusqu’à la garde restera définitivement en ma mémoire comme étant le summum de la jouissance culière que j’eus à ce jour. Après avoir entendu la porte claquée, lentement mais toujours sans rien voir, je me suis retrouvée seule avec le professeur qui me retira le bandeau. Autour de moi, personne d’autre que lui… je tremblais, mes nerfs lâchaient, il me prit dans ses bras, je me suis recroquevillée sur ses genoux, prise de froid, tandis que de ma chatte et cul, je me vidais sur son pantalon nous faisant rire tous les deux, comme deux gamins… Merci Monsieur le Professeur, je n’oublierai jamais cette rencontre. Ce fut la dernière fois que je le voyais, car 15 jours plus tard, j’apprenais à l’université qu’il se tuait dans un terrible accident de la route en allant à ses cours.
(A suivre …)