1. Violette : de vierge à salope, mon apprentissage (3)


    Datte: 22/03/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: marla4, Source: Xstory

    ... grandissait au creux de mes reins.
    
    Je gémissais en retenant le son au maximum, me mordant la lèvre jusqu’au sang - je sentais cet autre liquide qui coulait de mon corps, celui-là au moins je pouvais encore le contrôler.
    
    Son gland entrait en moi, lentement mais sans discontinuer : j’avais l’impression de le sentir remonter dans mon ventre jusqu’à ma gorge...
    
    J’étais pleine, il me tenait désormais fermement les deux hanches pour s’enfoncer en moi au maximum ; je l’entendis pour la première fois gémir (d’habitude il avait eu une respiration accélérée mais semblait toujours maître de la situation).
    
    Comme s’il m’entendait et voulait reprendre le contrôle, il m’agrippa le clitoris et me masturba tout en me pilonnant le cul pendant de longues minutes.
    
    Mon anus brûlait, mais mon pubis me faisait ressentir un immense plaisir, mes sens étaient perdus. Il continuait à me prendre sans ménagement, par à-coups brusques et violents qui m’arrachaient de petits cris et gémissements (même si j’avais tenté de me contenir, c’était vraiment trop bon... ).
    
    Mon bassin bougeait presque mécaniquement, j’étais une chose faite pour la sodomie semblait-il, pratique que j’appréciais d’ailleurs de ...
    ... plus en plus. Mon cul se faisait toujours défoncer, mais je ressentais alors la même chaleur que lors de mon orgasme d’avec le cunnilingus.
    
    « Haaa Violette... J’adore sentir mon gland au fond de ton petit cul... » gémit mon maître.
    
    Cela m’excita tellement que je jouis dans un dernier assaut, je me cambrais alors et je sentais ses pouces appuyer sur ma taille, je le sentis se contracter après quelques va-et-vient profonds, il retira directement son pénis de mon fondement et je sentis son sperme dégouliner de mon cul peu de temps après.
    
    J’eus du mal à me relever et il dut presque me porter jusqu’à mon lit car mes jambes tremblaient, en riant il me fit remarquer que j’avais encore besoin d’entraînement mais que mon cul commençait à s’habituer, il constatait d’un air ravi que j’avais bien mis le plug.
    
    Je devais continuer jusqu’à nouvel ordre, me dit-il, quittant ma chambre.
    
    Je ne savais toujours pas ce qui m’avait valu ce traitement de faveur - le lubrifiant avait vraiment rendu tout cela plus agréable et j’espérais qu’il en utiliserait plus souvent - mais également cette visite impromptue. Je m’endormais épuisée en me demandant ce que mes prochaines leçons me réservaient... 
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