1. Léa (2)


    Datte: 21/12/2019, Catégories: hplusag, hagé, inconnu, fépilée, fsoumise, hdomine, Auteur: Silian, Source: Revebebe

    ... placer entre ses jambes à elle. Les écarte encore un peu plus. Lève son cul à hauteur de sa bouche et doucement tourne sa langue autour de son petit trou qu’il a déjà baisé une heure plus tôt. Mais il en veut encore. Il la travaille, lui mange le cul, la soulève pour qu’elle s’offre et s’ouvre bien. Elle gémit et dit :
    
    — Oui, j’ai envie que tu me prennes par là.
    
    Il dit :
    
    — Je vais m’occuper de ton petit cul chéri, je te jure que tu vas bien la sentir.
    
    Longtemps, il la lèche ainsi, son cul dégouline de salive et de mouille, il peut rentrer trois doigts. Il se redresse, place son gland épais à l’entrée de son anus et rentre doucement, lentement. Il a entré sa queue complètement. De sa main, il doigte sa chatte. Il peut sentir sa propre queue à travers la paroi fine…
    
    Dans la glace, elle le regarde aller et venir en elle. Il a placé ses jambes sur ses épaules blanches et larges. Et sa grosse queue entre et sort de son cul. Son bide en sueur cogne son ventre à elle. Il y a des bruits de succion, des bruits de chair humide. Il plonge sa langue dans sa bouche de façon obscène, pétrit ses seins de façon obscène, crache sur son ventre et étale la salive comme si c’était sa propre semence.
    
    Obscène, tout chez cet homme est sexualité crue, bestiale. Pourtant elle mouille comme jamais, s’offre comme jamais. Passe ses mains sur sa nuque, embrasse ses tétons, caresse son crâne dégarni, se repaît de son corps lourd et suintant. Et cette bite large qui la défonce.
    
    Ça la ...
    ... rend dingue. Elle parle, lui aussi. Elle dit qu’elle aime qu’il la baise, qu’il pourra la baiser encore et encore quand il le voudra, qu’elle est sa pute. Il la retourne, la place à quatre pattes, rentre à nouveau dans son cul.
    
    — Regarde-toi petite chienne.
    
    Et elle regarde. Son reflet à elle, offerte à quatre pattes et lui qui sourit, lui qui tire ses cheveux noirs en arrière, lui qui entre et ressort lentement sa queue. Il joue avec sa chatte, passe son gland sur sa fente puis revient dans son cul. Il la baise. La baise encore un long moment. Elle en a mal, mais elle le supplie de continuer. Il gémit. Elle veut le sentir. Elle veut le sentir venir en elle.
    
    Il se lâche, tire un peu plus fort ses cheveux, place une main sur ses seins et jouit soudainement, se vide dans son cul. Elle sent les jets, courts, épais, chauds. Et tandis qu’il se retire, la semence coule le long de ses jambes. Elle s’écroule sur le lit, les fesses en feu. Il s’allonge près d’elle, embrasse son cou, lèche sa sueur.
    
    Plus tard, bien plus tard, devant la porte d’entrée, alors qu’elle s’apprête à partir, il prend sa main à elle et la place sur la fermeture éclair de son pantalon de toile. Il bande encore. Elle sourit. Il l’embrasse à pleine bouche. Longtemps encore, il l’a possédée. Toute l’après-midi. Toute la soirée durant.
    
    — La prochaine fois, nous serons deux pour te baiser.
    — Comment est-il ?
    — Cinquante ans, une queue comme tu sembles les aimer. Tu en as envie ?
    
    Elle hésite.
    
    — ...