Nadine 07
Datte: 20/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: bydan57, Source: Literotica
Chapitre 15 Epilogue
Lorsque Jean passa à l'hacienda trois mois après, la voiture qui l'amenait s'arrêta juste après avoir franchi l'enceinte et on lui proposa de prendre une voiture tirée par deux chevaux ou plutôt par un cheval et par Juanita (elle pensait désormais à elle-même sous ce nom et Nadine était bien oubliée) accouplés. Il ne la reconnut pas tout de suite tant elle s'était coulée dans son rôle d'animal de trait ou de selle.
Jean complimenta Carmen pour les progrès qu'avait faits sa protégée. Il vint examiner de près son harnachement sans lui adresser la parole. Il fut impressionné par la taille du gode qui portait sa queue. Vu le diamètre, il n'arrivait pas à croire que son cul soit encore capable de servir à un homme normal.
Carmen le prit au mot, enleva immédiatement le gode du cul de Juanita, l'enfonça sans même l'essuyer dans le sexe de la malheureuse qui poussa un grognement de douleur et invita Jean à l'enculer séance tenante. Dès que Jean se mit en place, celle qui était toujours officiellement sa femme, sans même le regarder, resserra son anus autour de son gland, ne se relâchant que progressivement pour l'accueillir lentement. Lorsqu'il fut enfoncé jusqu'à la garde, elle se mit à le traire sans bouger, alternant les serrages presque douloureux et des massages onctueux comme l'aurait fait une bouche. Il se vida dans son anus avec des grognements de bête. Carmen lui demanda de remettre le gode en place.
Pendant le repas de bienvenue, Juanita ...
... toujours sanglée sur son chariot mais dessellée, fit les frais du spectacle : tour à tour frappée à coups de martinet, de ceinture, de cravache ou de fouet qui laissaient de vilaines marques violacées et boursouflées sur ses fesses, son dos, ses cuisses et même ses seins qui pendaient sous elle. Entre deux corrections, elle se faisait parfois baiser, mais surtout enculer ou suçait une demi-douzaine de figurants qui se relayaient, la prenant parfois à deux.
Après le dessert, Carmen la fit emmener dans la cour, nettoyer sommairement en fourrant un tuyau d'arrosage dans ses trous pour une douche interne glacée. Après avoir été séchée, elle dut écouter les remarques cuisantes de Carmen qui décrivit à Jean tout ce qu'elle avait du subir depuis son arrivée à l'hacienda. Elle offrit à Jean un album de photos et un jeu de cassettes vidéo pour qu'il puisse voir lui même ce qu'elle avait enduré.
Carmen fit aussi remarquer que Juanita n'avait plus rien à voir avec la petite bourgeoise qui avait épousé Jean : Elle n'était plus qu'une esclave qu'on pouvait fouetter, un trou ou plutôt des trous qu'on pouvait fourrer sans qu'elle se plaigne. On l'avait jadis prostituée au coin d'une rue, elle avait subi des séances d'abattage sans se révolter. Elle servait maintenant de jouet obéissant à l'hacienda et à ses hôtes. Elle avait forniqué avec un chien et même avec un étalon lors de son séjour au haras. Elle ne méritait plus d'être considérée comme une femme mais rien de plus qu'un animal. ...