Ma soumise: mon souffre douleur (1) - Histoires de Sexe

Ma soumise: mon souffre douleur (1)

Aujourd’hui je suis énervé !

Je rentre à la maison, tu es là nue à genou, en train de m’attendre ! Quand la porte s’ouvre je lis de la joie dans tes yeux... Cela m’énerve encore plus ! Sans dire un mot je te donne une grande gifle. Tu tombes à terre... Regard d’incompréhension de ta part. Je te relève sans ménagement. Je t’attrape par les cheveux et je te redonne une grosse gifle ! Tu lâches un petit sanglot, tes joues sont rouges. Je te traîne alors au salon. Tu suis tant bien que mal... Quand ça commence comme cela tu sais que tu vas dérouiller ! Mais tu adores ça ! Sinon, tu sais que d’un simple mot de ta part et tout s’arrête... Mais tu aimes trop cela ! Je m’assois alors sur une chaise et je te jette à plat ventre sur mes genoux ! Tu serres les dents car tu connais le châtiment.

« J’ai eu une sale journée pétasse ! Et c’est sur toi que je vais me défouler ! »

Tu réponds : « oui Maître je suis là pour ça ! » des sanglots de douleur et de joie dans la voix.

Je commence alors à te donner toute une série de grosses claques désordonnées sur tes superbes fesses bien rebondies. Je tape et tape encore plus fort ! Mais ton cul encaisse bien ! Tu es toute rouge du supplice que je te fais subir. Je m’arrête et sans prévenir, je vrille un doigt dans ton cul ! Je te doigt sans ménagement ! Je le rentre et le sors de ton fion avec violence ! Tu gigotes car tu as mal. Mais tu sens déjà le plaisir monter inexorablement !

« Tu ne te laisses pas faire sale putain ? Très ...

... bien tu l’auras voulu ! Mets-toi à quatre pattes, salope !»

Tu t’exécutes. Tu cambres bien ton cul, tu espères que je t’encule avec ma grosse queue ! Mais je n’en fais rien. Je vais dans un placard cherche deux grosses bougies et ma badine ! Je place les bougies sous ton ventre et je les allume. La chaleur te brûle le ventre. Tout en restant à quatre pattes, tu courbes ton dos au maximum pour éviter la brûlure. C’est le moment que je choisis pour te donner un grand coup de badine sur le dos ! Tu cries de douleur ! Le dos, c’est plus sensible que les fesses. Du coup tu t’affaisses et la flamme te rappelle à l’ordre. Tu courbes à nouveau ton dos pour éloigner ton ventre du feu, et je retape. Le jeu commence ! Tu te courbes, je tape et tu te brûles, etc... Ton dos te fait très mal, il est strié de rouge, ton ventre chauffe atrocement. La douleur est insoutenable. Tu éclates en pleurs. De grosses larmes coulent de tes yeux ! Tu me demandes pardon sans savoir pourquoi, tu me supplies d’arrêter, tu hurles à chacun des coups ! Quel plaisir sadique de te voir torturée ainsi. Au bout d’une trentaine de coups, je m’arrête. J’éteins les bougies. Épuisée par ce traitement tu t’effondres sur le sol. Tu es exactement dans l’état de transe que je souhaitais.

Je baisse mon pantalon, je te mets sur le dos et je te saisis par les chevilles.

« Arrêtes de pleurer petite pute et mets ma queue dans ton cul de salope ! »

Tu prends ma bite bandée à pleine main et tu la mets dans ton fion. ...