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Cheptel Humain Ch. 02
Datte: 11/01/2018, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: bydan57, Source: Literotica
Par Dan57 avec l'aimable autorisation de riviere7 * La bétaillère transportant Virginie arriva devant chez Jean vers cinq heures du matin. Brigitte et son mari l'attendaient avec impatience depuis plus d'une heure. Les maisons voisines avaient une vue directe sur leur maison. Il était donc impensable de faire passer Virginie nue comme un ver sur le trottoir. Jean avait déjà prévu la parade. Il entra dans la remorque avec un grand drap. Il embrassa Virginie sur les lèvres fougueusement puis il détacha les sangles qui l'avaient entravée tout le long du voyage. Il remarqua que son anus était enflé et entrouvert et que du sperme s'en écoulait encore. D'autres traces de sperme avaient séché autour de sa bouche. Il était évident que l'ami qui conduisait avait fait un dernier arrêt à quelques kilomètres de là pour tirer un dernier coup avec la jeune femme. Rien à dire à ce sujet, cela faisait partie de leur accord. Jean laissa à Virginie ses menottes qui immobilisaient ses poignets derrière son dos. De toute façon, Jean Pierre était un ami de très longue date et ils se rencontraient deux fois par mois au moins. Virginie aurait souvent l'occasion de batifoler dans l'herbe ou ailleurs avec lui à l'avenir. Jean enveloppa le corps mince et délicat de sa nièce dans un grand drap pour la porter à l'intérieur de la maison. Virginie se tourna vers l'autre fille qui l'avait accompagnée dans son voyage. Elle essaya de parler mais le vétérinaire de Saint Azul avait fait un travail ...
... particulièrement réussi : ses cordes vocales épaissies de façon rigoureusement choisie par un gel à durcissement rapide ne lui permettaient que d'émettre des sons graves et prolongés. Ce qu'elle voulait dire se transforma en une assez bonne imitation d'un meuglement de vache. Virginie savait très bien que ce gel se dissoudrait de lui même en à peu prés un an et qu'il faudrait le renouveler si son Maitre voulait la maintenir muette. Il n'empêche qu'elle trouvait cette infirmité temporaire extrêmement frustrante. Enfin, il était probable qu'elle s'habituerait vite! Jean la prit dans ses bras et la porta jusqu'à la maison. La fraicheur de la nuit la glaçait à travers le frêle tissu. Il la reposa sur ses pieds dés que la porte fut refermée. Brigitte enleva d'un geste le drap qui la couvrait. Elle prit sur un guéridon un collier de cuir et le lui fixa rapidement autour du cou. Sa tante qui avait toujours été si affectueuse depuis que sa nièce était venue s'installer chez elle n'avait plus ses manières maternelles de la semaine précédente. - Bon, Virginie, J'espère que tu as fait bon voyage. Je vois que Jean Pierre a continué ton éducation pendant le voyage. C'est très bien. Virginie essaya encore de répondre par un petit merci mais il se transforma en un grognement inarticulé. Sa tante reprit : - Ce harnachement grossier est provisoire. J'ai déjà pris rendez vous pour toi pour après demain. On va décorer ton corps avec une série de piercings. Tu en auras un au nez pour ...