De l'amour à trois, la tromperie et l'humiliation
Datte: 20/12/2019,
Catégories:
fhh,
extracon,
cocus,
grosseins,
amour,
hsoumis,
humilié,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
facial,
Oral
pénétratio,
lettre,
Auteur: A Deviant Mind, Source: Revebebe
... commentaires sur la taille de mon sexe, que je considère comme normal : un peu plus de 13 cm et à peu près trois doigts de diamètre. Mais le sien est énorme. Pas loin de 20 cm, et si gros que ta main n’en fait pas le tour. Des grosses couilles se balancent et claquent contre ton menton à mesure qu’il pilonne ton visage, ce que tu sembles adorer. Rien à voir avec les miennes, petites et désespérément peu pendantes. Mon caractère soumis se met en marche ; je me sens sous-membré, un sous-homme. J’ai peur de ta réaction par la suite, que tu me quittes pour ce mec (ou un autre) mieux monté. Mais d’un autre côté, cette torture psychologique est délicieuse. Il te satisfera mieux que moi, et me voilà bien soumis. D’ailleurs, ma pire peur/meilleure espérance ne tarde pas à se réaliser. Il insiste pour te prendre en premier, avant même que j’aie pu te faire jouir. Il te prend à quatre pattes sur le canapé ; tu hurles comme jamais en me suçant. Tu as un orgasme dévastateur qui te laisse pantelante.
Tu me réclames ; je commence mon travail. Tes gémissements deviennent rapidement tristes et désespérés. Tu me demandes d’arrêter : tu ne sens RIEN ! Tu le réclames à nouveau ; il te refait jouir. Je viens d’éjaculer sur ton visage : tu en as autour de la bouche, et des éclaboussures jusqu’au front. Il demande à faire pareil. Il te couvre le visage d’un épais liquide blanc, m’humiliant une dernière fois, moi, le sous-homme de la soirée. Tu auras joui trois puissantes ...
... fois ; jamais par moi.
Il finit par quitter notre appartement. Tu me remercies, m’embrasses fougueusement. J’ai vécu une des meilleures soirées de ma vie ; mais là, le plaisir retombe et l’inquiétude prend le dessus. Je te supplie presque de ne pas me quitter alors qu’il t’a donné plus de plaisir que moi. Tu éclates de rire avant de prononcer la plus belle phrase que j’aie pu entendre :
— Te quitter ? Tu sous-estimes mon amour ! Je t’aime pour beaucoup d’autres raisons, et tu restes un bon coup ! Lui, ce n’était qu’une expérience. Toi, tu es mon homme !
Toutes mes peurs balayées, il n’y a plus que du bon à retenir. Nous avons eu quand même peur quelques jours, puisque tu ne sentais plus rien ; mais ton vagin à fini par se détendre, et tout est rentré dans l’ordre.
Voici, mon amour, mon plus grand fantasme, qui ne se réalisera jamais. D’abord parce que j’ai peur de ta réaction, que tu me quittes dès son évocation, ensuite parce que j’ai peur qu’il se termine autrement. Pourtant, quand j’y pense, il me comble autant psychologiquement que physiquement : je t’ai vue déchaînée et comblée, je t’ai fait plaisir, j’ai pris du plaisir, mon moi soumis est heureux, humilié comme il l’a été, et surtout, surtout, tu m’as choisi par-dessus tout. Preuve ultime, s’il en fallait, que notre histoire est vraie et réelle, plus forte que tout le reste, notamment que la plupart des autres amours qui auraient été détruits par cette aventure.
Love
A Deviant Mind