1. Le coup de foudre


    Datte: 19/12/2019, Catégories: fh, grossexe, grosseins, Transexuels Humour fantastiqu, merveilleu, merveille, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... plus lourd, était désormais à l’évidence celui d’un homme. Les courbes divines de ses hanches, de ses fesses, de sa poitrine, s’étaient aplanies, ses épaules élargies, ses muscles plus marqués, ses cheveux raccourcis. Je baissai aussitôt les yeux vers mon corps, et le palpai de partout : j’étais devenu une femme ! Une femme avec de gros seins, des fesses rebondies, des épaules et une taille fines… Dans un réflexe commun, Aurélie et moi nous déshabillâmes pour observer nos anatomies avec dépit. Je n’avais plus de bite ! Et Aurélie en avait une énorme, légèrement gonflée ! Je me laissai tomber à genoux sur le sol, désemparé, larmoyant presque.
    
    — Qu’est-ce qui lui a pris ? Pourquoi a-t-il fait ça ?
    — C’est affreux ! Même ta voix ! Il a fait de toi un homme ! Et… et moi, regarde ce que je suis devenu !
    — Ce n’est pas le moment de pleurnicher !
    
    Aurélie s’arc-bouta de toutes ses forces sur les barreaux de notre prison et grogna de rage en essayant de les tordre ou de les écarter.
    
    — Rien à faire, dit-elle d’une voix rauque. On est bel et bien prisonniers.
    — Et prisonniers de ces corps, surtout !
    — Nous devons absolument sortir d’ici et retrouver cet empaffé ! Et je lui ferai payer ça !
    — Oui mais comment ? On est tout seuls sur notre île, à quarante bornes de tout !
    — Et il ne va pas tarder à faire nuit…
    
    J’entrepris de gratter le sol mi-sablonneux mi-argileux sur lequel nous nous trouvions, mais malgré la pluie récente, celui-ci restait dur à creuser, et nous ...
    ... découvrîmes bien vite que les barreaux paraissaient s’enfoncer profondément sous la terre.
    
    — Tu n’aurais pas ton portable dans ta poche, par hasard ?
    
    Ben non, bien sûr. J’avais que dalle. Rien pour nous aider, rien à bouffer, rien à boire… Alors que la maison n’était qu’à peine à vingt mètres… C’était vraiment rageant !
    
    Alors qu’au bout d’une demi-heure j’étais toujours à m’agacer et à réfléchir à ce que nous pouvions faire, Aurélie s’était mise à manipuler ses burnes et sa grosse queue dans tous les sens.
    
    — T’as vu cet engin, Gufti ?
    — Oh là là ! C’est bien le moment !
    — Et toi, hmmm… tu es vraiment… très… bandante !
    — Pffff !
    
    C’était vrai qu’elle… euh… il… enfin, non… j’avais vraiment du mal à me dire que c’était il… l’être qu’était devenue Aurélie bandait à bloc. Et je ne sais pas si c’est parce que j’avais une vision déformée, mais sa queue était très impressionnante, et curieusement, alors que je me persuadais que cela me dégoûtait, tout mon corps la réclamait. Je me sentais bizarre, envieuse, excitée, sans doute. Une étrange chaleur irradiait en moi. Elle s’approcha, m’embrassa, fougueusement, pressant son organe tendu contre mon ventre. Ses mains se refermèrent sur mes seins…
    
    ***
    
    — Alors, chérie, ça t’a plu ?
    
    Je ne répondis rien. Notamment parce que, d’un côté, ça m’énervait franchement profondément.
    
    — Oh, vu comment tu gueulais, reprit-elle, ça devait te plaire…
    — Ça ne m’amuse pas, Aurélie !
    — Laisse-moi récupérer cinq minutes et tu vas ...
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