1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1314)


    Datte: 19/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... bien excitée d’être dans cette position et que j'y trouvais même beaucoup de plaisirs, en me sentant à ma place je me dois de Vous l’avouer. Je vous prie de bien vouloir m’excuser pour les fautes que j’ai commises en ce jour et je veillerais, à l’avenir, à être plus vigilante afin de Vous satisfaire et répondre ainsi au mieux à Vos exigences. Recevez ma reconnaissance éternelle pour tout ce que vous daignerez m’inculquer. Votre chienne Maera à Vos pieds.
    
    Après avoir lu et relu le message, j’envoyais le message au Maître et Seigneur Vénéré… Le temps passait et les jours se suivaient ainsi sans grand événement notoire. Je n’avais pas de nouvelles de Monsieur le Marquis depuis ma dernière visite au sein de Son ancestrale et vaste Demeure. J’attendais ainsi impatiente d’avoir de Ses nouvelles pour savoir quand j’aurai la chance de me retrouver à Ses pieds, physiquement. Quelques jours après j'eus la réponse à mon interrogation, car en effet je reçus un message Skype sur mon portable du Maître :
    
    - Bonjour Ma chienne salope Maera, je veux te voir jeudi prochain en Mon Château dès 14h. Je te veux en forme et présentable à Mon regard. Le Maître »
    
    Je répondis presque instantanément à Son message et lui confirmant ainsi ma disponibilité (dans le cas où j’aurai été indisponible, je me serais débrouillée pour devenir disponible) et que je serais bien présente jeudi prochain à 14h en Son Château... Les jours passaient doucement à mon goût car je dois bien avouer que j'avais ...
    ... trop hâte d’être à nouveau à Ses pieds en Son ancestrale Demeure. Quand enfin le fameux jour arriva, je me préparais donc pour partir dans Son Château. Je prévoyais ainsi le temps nécessaire au trajet ne voulant surtout pas arriver en retard dans le Beaujolais. Je me mis donc en route assez tôt… J’arrivais enfin aux impressionnantes grilles en fer forgé du Château. J’eus la surprise de constater que les grilles étaient déjà grandes ouvertes quand je les franchis pour m’engager dans l’allée centrale toujours aussi bien entretenue par les esclaves jardiniers du Maître. Je ralentis et m'arrêtais à quelques mètres du perron du Château puis coupa le moteur. Puis je me dévêtis entièrement. Me retrouvant dans la nudité la plus totale, je ne pus m’empêcher de lever un regard impressionné face à la somptueuse façade de pierres, hautes fenêtres et double-porte d’entrée qui s’offrait majestueusement sous mes yeux admiratifs. Je laissais les clés sur le contact et me dirigeais vers le perron à quatre pattes. Je me déplaçais donc en quadrupédie comme la chienne que j’étais et j'évoluais ainsi de manière féline et séduisante sur les graviers rouge, menant au perron, qui me rendirent les genoux douloureux. Après quelques mètres je gravis toujours à quatre pattes les marches des larges escaliers de pierres du perron et je frappais à la massive double-porte vernis à l'aide du loquet. Puis, j'attendis que l’on daigne venir m’ouvrir, j’étais à la fois nue, excitée, impatiente, silencieuse et ...