1. Une fessée bien méritée


    Datte: 18/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Mature, Auteur: phylopsia, Source: xHamster

    Il y a une dizaine d’année, Marguerite, 51 ans à ce moment-là, faisait office d’assistante dans la société dans laquelle nous travaillons, et m’aidait dans l’ensemble de mes tâches quotidiennes, bien que 20 ans de moins qu’elle.
    
    J’ai toujours aimé son professionnalisme, elle était très respectueuse de la hiérarchie et était une vrai professionnelle dans tout ce qu’elle faisait. Elle n’a jamais hésité à faire des heures supplémentaires pour m’aider à clôturer un dossier, ou même venir un peu en avance si c’était nécessaire. Jamais une réclamation, toujours super pro.
    
    Un jour, lorsque nous étions en réunion, elle m’assistait pour un projet que nous avions à présenter à l’un de nos partenaires. Elle avait préparé les slides, et était persuadé que tout était en ordre. Lorsque je fis mon exposé et fit défiler les documents, je me rendis rapidement compte que certains ne correspondaient absolument pas à ce qui devait être présenté ni à ce que j’avais sur mes fiches. Je mis rapidement fin à cette mascarade, et demandait à mes partenaires de m’excuser pour cette erreur, et leur proposais de continuer en allant leur faire des photocopies et continuer ainsi.
    
    Marguerite fut rouge de honte, et je lui demandai de servir nos hôtes en quelconque boisson le temps que j’aille faire ces copies. Lorsque je revins en salle, Marguerite avait servi l’ensemble de nos partenaires, et je lui demandai également un verre d’eau. En me le ramenant, elle trébucha, et me renversa l’ensemble ...
    ... du verre sur ma chemise et costume. La situation fut plus que gênante, elle s’excusa, je lui dis que c’était bon mais que l’on verra ça plus tard, allait me sécher un peu, puis ai fini la réunion. D’habitude si professionnelle, Marguerite est passée complètement à côté de la plaque.
    
    Une fois tout terminé, elle est venue une nouvelle fois s’excuser. Elle était vraiment confuse, que cela n’arriverait plus et qu’elle était prête à travailler tard s’il le fallait pour se faire pardonner. Je lui ai signalé que le temps n’était pas au pardon, mais plutôt à la punition, car j’étais profondément déçu d’elle, et lui demandait s’il ne fallait pas qu’éventuellement je prenne une assistante plus jeune qui elle ne se tromperait pas dans les slides et serait peut-être moins maladroite. A cette question elle devenait rouge comme phare, commençait à avoir les larmes aux yeux, et me dit qu’elle acceptait toute punition ou humiliation, mais qu’elle avait besoin de ce boulot depuis sa séparation, sinon, elle n’arriverait pas à joindre les deux bouts. Je lui ai dit que la nuit porterait conseil, qu’elle n’avait qu’à rentrer chez elle, de venir demain matin et de faire en sorte que je ne sois convaincu qu’il va falloir que je la garde elle.
    
    Le lendemain, lorsque j’arrivais au bureau, Marguerite était déjà en place à son poste. Elle portait un chemisier blanc dont les deux premiers boutons étaient exceptionnellement ouverts et laissaient deviner les formes très avantageuses de sa poitrine ...
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