Tatie Solange 02
Datte: 18/12/2019,
Catégories:
Mature,
Hardcore,
Auteur: Fulvia41, Source: xHamster
... les deux hémisphères charnus du postérieur. Comprenant alors qu’il n’arriverait pas à remettre son membre dans le chemin désiré s’il ne l’aidait pas manuellement, Guillaume glissa une main entre leurs deux corps accolés pour se saisir de sa queue gluante. La maintenant solidement, il l’a remonta en direction de l’ouverture convoitée. Mais dans ce mouvement, son gland sensible frôla l’anus de son épouse qui sous cet effleurement poussa un petit gémissement.
Il n’en fallut pas plus à Guillaume pour qu’il éprouve le désir soudain de forcer cet orifice que lui offrait son épouse du fait de sa posture. Maintenant le bourgeon gonflé de sa bite contre le coquin œillet plissé, il poussa légèrement.
Percevant la pression du mufle gonflé conte son petit trou, Nicole comprit immédiatement ce que son époux désirait. Comme cette pénétration ne lui était plus désagréable, depuis que Guillaume l’avait patiemment amené à accepter ce genre de perversion, elle relâcha ses muscles fessiers :
— Tu veux me la mettre de ce côté, interrogea-t-elle, plus pour la forme ?
— Ça glissera peut-être un peu moins, tenta de plaisanter Guillaume.
— Attend !
Lâchant alors les épaules de son mari auxquelles elle s’agrippait depuis le début de leur étreinte amoureuse, Nicole lança ses deux mains en direction de sa croupe tendue de par sa position. Empoignant fermement ses fesses douloureuses, du fait des chocs répétés qu’elles avaient dû subir, elle les écarta largement l’une de l’autre ...
... facilitant l’accès à son orifice anal :
— Viens !... Mais vas doucement, sollicita-t-elle...
Au fil des années, grâce à la patience et la tendresse de Guillaume, Nicole avait appris que l’on pouvait ressentir un certain plaisir à être pénétrée par cet orifice. Ce petit trou secret, qu’elle avait toujours, dans son innocence et son initiation religieuse, considéré comme étant un endroit tabou. Le plaisir qu’elle éprouvait lors de ces pénétrations anales, s’il était moins fulgurant que celui qu’elle ressentait lors d’une pénétration vaginale, était plus diffus, plus insidieux, plus pervers. Cela ne ressemblait en rien à l’orgasme violent qui la faisait se cambrer et qui la projetait aux nues. Néanmoins, le va-et-vient du membre masculin dans ses intestins dilatés lui procurait une douce volupté qui la comblait quand même sexuellement. Mais si le fait de se faire enculer la ravissait, l’introduction du gland mafflu dans son anus resserré lui procurait toujours une certaine appréhension. Lorsque ce bourgeon dilaté s’appuyait contre sa sensible corolle refermée, elle craignait toujours que celle-ci, forcée de la sorte, se déchire sous l’imposante poussée.
Guillaume présenta son gland dilaté contre le petit cul brun et plissé que son épouse lui offrait, dans une posture terriblement obscène. Connaissant les craintes de cette dernière, il força délicatement l’anus convoité. Largement lubrifié par les abondantes sécrétions vaginales qui s’étaient échappées de la vulve débordante, ...