1. J 'AI PERVERTIE MA COLLEGUE - L'EVOLUTION 7


    Datte: 18/12/2019, Catégories: Dans la zone rouge, Auteur: Dresser, Source: Hds

    ... simultanément, sentent mon jus se libérer dans son conduit anal.
    
    -tu n’as pas mis de préservatif, putain
    
    -eh non, j’ai préféré marqué ton cul de mon jus, comme ça tu le sens mieux
    
    Fannie nous rejoint et viens ouvrir les fesses de Razane et voir couler mon jus.
    
    -mon homme t’a bien remplie tu sais, c’est la preuve de ton appartenance.
    
    -quoi, qu’est-ce que tu me dis là ?
    
    -ma chérie, si Fred te possède, c’est pour que tu deviennes sa chienne, comme moi, en plus une chienne arabe, c’est le top
    
    -mais je suis quand même marié Fannie.
    
    -oui, moi Fred c’est mon mec et alors, je suis open pour ce que nous vivons.
    
    -non non, je crois pas que cela va être possible ma belle.
    
    -oh ! nous en reparlerons Razane.
    
    Après ce moment chaud dans le bois, nous repartons ramener Razane chez elle à son épicier de mari.
    
    Pendant le trajet, Fannie exhibe ces bijoux intimes et aux seins, pour que Razane se rende compte de ce qu’elle fait pour son amoureux. A l’arrière ca papote sérieux, Razane découvrant un inconnu encore une fois. Arrivée à l’épicerie, nous descendons tous les trois et entrons dans le magasin.
    
    -mais vous étiez où tous les trois ?
    
    -eh oui, bien sûr, mon cher mari, pourquoi cela te pose problème ?
    
    -euh.. !! non c’est pas ce que je voulais dire.
    
    -alors que voulais-tu dire ? Tu veux savoir ce que nous avons fait ? Cela ne va pas te faire très plaisir, mais je vais te raconter, comme ça plus de questionnement.
    
    Razane raconte rapidement ...
    ... ces quelques heures.
    
    -………donc tu vois, toi tu bosses et moi maintenant je découvre et profite, après tout c’est moi la patronne.
    
    L’épicier échange en arabe avec Razane, le ton monte.
    
    -écoute mon cher mari, tu n’es pas content, tu peux prendre le bateau et rentrer au pays, sinon, tu ne dis plus rien et tu bosses. Si tu es gentil, tu pourras passer après Fred qui m’a jouis dans la rondelle et franchement j’ai jouis comme une folle, comme cela je pourrais comparer.
    
    L’épicier de colère, mais résigné part dans la réserve.
    
    Nous décidons de les laisser entres eux et rentrons chez Fannie qui doit prendre quelques affaires.
    
    Pendant que Fannie prépare un sac, je prends rapidement une douche. A ma sortie, Fannie déambule nue dans son appartement. Je la prends, et la plaque à la fenêtre de sa chambre qui est ouvert. Je salive ma queue et me présente dans son sexe qui goulûment m’avale. Ma soumise est là, à la fenêtre, les seins ballotant à chaque pénétration, pouvant être vu par qui lèvera les yeux sur son bâtiment.
    
    -ah quand même, tu t’occupes de moi, alors fais le bien, fais-moi jouir, donne-moi ton tu jus et engrosse moi, je veux un enfant de toi.
    
    -ah oui carrément, rien que ça ?
    
    -oui, depuis le temps que nous sommes ensemble, jouis moi bien au fond et je veux un enfant avec toi. Nous en avons déjà parlé, c’est le moment.
    
    Je la baise avec vigueur, profondément, ne lui laissant aucun répit.
    
    -ah oui, ah oui, encore, ah… oh oui vas-y …. Je vais jouir, ...