1. Au rythme régulier de notre monture (4)


    Datte: 18/12/2019, Catégories: Hétéro Auteur: Bugsy, Source: Xstory

    ... moi.
    
    Et nous gagnâmes la forêt toute proche. La jument était maintenant bien habituée à être guidée par des rênes placées plus bas que d’habitude et son calme habituel faisait que nous nous sentions sur son dos en parfaite sécurité. Je tenais Marie-Hélène par les hanches, et je sentais ses mains qui venaient caresser mes omoplates, qui couraient dans mon dos. Tout en surveillant le mieux possible la route d’un œil j’avais posé mes lèvres sur les siennes et nos langues s’emmêlaient dans un somptueux ballet. Puis ma bouche descendit à hauteur de ses seins. La petite pointe bien rouge, toute tendue, me faisait toujours le même effet et c’est avec délice que la pointe de ma langue jouait avec.
    
    Elle commençait à gémir, se serrait de plus en plus contre moi et je sentis bientôt sa main prendre possession de mon sexe, commencer de le caresser doucement, jouant bien avec le gland avant de descendre tout du long de la hampe. Lorsqu’il fut bien en érection je lui demandais de le diriger vers son sexe. Elle caressa un moment sa fente avec, et je pus sentir de la pointe de mon gland qu’elle commençait à être bien humide, à bien s’entrouvrir... petit à petit nous nous rapprochions l’un de l’autre... et je me sentis bientôt glisser entre les parois bien humides de son vagin. Je sentais son souffle, sa respiration de plus en plus haletante dans mon cou. Ses mains dont les doigts s’étaient crispés dans mon dos me serraient bien contre elle et à chacun des pas de notre monture je ...
    ... sentais mon sexe qui inexorablement prenait possession de son intimité. Je n’avais même pas besoin de donner de coup de reins, l’allure du cheval les remplaçait largement.
    
    Sous l’excitation mes jambes se crispèrent un peu, et la jument prit cela pour un appel à passer à l’allure supérieure... Léger moment de confusion, mais calmée par ma voix elle reprit bientôt le pas et nous retrouvâmes une position plus stable.
    
    Tout comme moi très excitée par la situation, Marie Hélène mouillait en abondance, et je sentais son pubis et ses seins qui se frottaient contre moi. Je sentais la tension qui montait en nous et mon bassin accompagnait les mouvements réguliers du pas de notre jument.
    
    Dans un cri Marie Hélène se laissa emmener par le plaisir et je me déversais bientôt en elle.
    
    Après un long baiser, tandis que mon sexe maintenant tout mou s’extirpait de son vagin, elle se remit dans le sens de la marche et nous rentrâmes ainsi, serrés l’un contre l’autre, elle devant moi tandis que ma main pour prolonger sa jouissance jouait avec son clitoris.
    
    Voilà... nous avions fait l’amour à cheval, ce qui nous tenait à cœur depuis un certain temps. La passion que nous avions l’un pour l’autre et notre passion commune pour nos chers équidés s’étaient trouvées réunies.
    
    Maintenant, il faut bien l’avouer : si nous étions heureux, tous les deux, de nous être donnés l’un à l’autre sur le dos de notre jument, ce ne fut pas non plus la plus belle de nos jouissances.
    
    Mais la plus inédite, ...