1. Ma première fois en club libertin (2/2)


    Datte: 22/03/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... moment ou des doigts me pénétrèrent simultanément dans le vagin et l’anus. Je me contractais, m’arcboutais dans une jouissance profonde. Une vague, un tsunami de plaisir m’emporta loin très loin. Les caresses s’arrêtèrent pour me laisser le temps de récupérer.
    
    Vincent, allongé sur le dos, m’attira sur lui. Son sexe me pénétra tout naturellement. Son pal, épais me remplit totalement. Sa bouche vint heurter la mienne et un baiser passionné nous unit. Je me mis à onduler les hanches pour caresser la queue de mon amant avec mes muqueuses. J’étais trempée, mais j’eus besoin de plusieurs mouvements de mon bassin pour trouver la bonne synchronisation avec Vincent.
    
    Paul nous observait. Ses mains me caressaient les fesses. Je sentis Vincent se raidir quand je sentis Paul caresser les couilles de Vincent. C’est la première fois que je voyais mon mari toucher un homme. Je souris. Vincent se relâcha. Il semblait apprécier les caresses de Paul qui allaient de mon anus à sa queue qui entrait et sortait de mon vagin. Ses doigts pénétrèrent mon anus pour assouplir mes sphincters. ...
    ... Enfin, il se mit derrière moi et m’encula, doucement, mais profondément.
    
    Quel plaisir d’offrir mes orifices à mes deux amants ce soir. Paul restait au fond de mes entrailles sans bouger. Il laissait le soin à Vincent de trouver le bon rythme pour mon plaisir, puis progressivement, Paul bougea pour alterner les mouvements de queue avec Vincent. Quand l’un sortait, l’autre rentrait. Les deux coquins me rendaient folle.
    
    Vincent accéléra le mouvement. Paul suivit son rythme. Ils me limèrent, me défoncèrent ainsi pendant quelques minutes avant qu’une nouvelle jouissance m’emporte. Mon corps s’était contracté. Ma tête allait de gauche à droite. J’étais envoûtée par le plaisir intense et puissant qui m’envahissait. Celui-ci atteint son paroxysme quand je sentis mes deux amants lâcher leur jus avec de puissants jets.
    
    Nous restâmes quelques instants ainsi. Une odeur pleine de stupre remplit la pièce. Un mélange de nos secrétions et de sueur.
    
    Paul sortit le premier. Vincent me fit rouler sur le côté. Nous étions épuisés. Nous nous endormîmes là, tous les trois étroitement serrés. 
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