Leïla, maman soumise (7)
Datte: 17/12/2019,
Catégories:
Trash,
Auteur: pomplard, Source: Xstory
10 jours ont passé, je reçois une photo de Leïla. Elle est nue dessus et sur son ventre une ordonnance. En message, elle me marque « RDV fait, examen nickel, reste plus qu’à aller chercher ma pilule ». Je souris et lui réponds « A demain alors ! »
J’informe Delphine par message comme quoi notre jouet est de nouveau dispo. Elle me répond uniquement par un pouce en l’air.
Place au jeu et à la dépravation de cette jeune maman.
Le lendemain matin, j’amène les enfants à l’école et demande à Leïla de prendre sa première pilule avant d’aller à l’école. Je lui donne aussi les instructions suivantes :
— Viens à l’école habillée d’une robe courte sans rien dessous et des escarpins. Tu as le droit à une petite veste.
Elle me répond par l’affirmative.
J’arrive à l’école, Leïla n’est pas encore arrivée. Mes enfants rentrent et quand je me retourne, je la vois arriver sur le trottoir d’en face. Elle n’a pas fait dans la demi-mesure, elle arrive dans une robe vichy noire style Brigitte Bardot, des escarpins rouges et un petit perfecto en cuir noir dessus. Elle a coupé ses cheveux et fait une teinture rouge. Enfin pour sublimer le tout elle a fait un maquillage sophistiqué, ni trop ni trop peu. Bref en un mot parfait. Je passe devant elle sans m’arrêter. Quelques mètres plus loin je lui envoie un message.
— Parfait, rendez-vous devant ton immeuble.
Devant ce dernier, je n’attends pas longtemps pour la voir arriver. A ma vue, elle accélère le pas. Toujours sans un ...
... mot, nous rentrons dans l’immeuble puis dans l’ascenseur. La porte à peine fermée, que je lui saute dessus et lui roule une pelle. Nos langues s’entremêlent, mes mains caressent son corps. Leïla dégrafe ma ceinture et ouvre mon pantalon. Je dézippe sa robe et retire son perfecto. Ils tombent tous les deux sur le sol de l’ascenseur. Elle se retrouve devant moi entièrement nue uniquement montée de ses escarpins.
— Monsieur est ravi.
— Tourne-toi !
Je ne lui laisse pas le temps de le faire seule, j’attrape son bras et la retourne face au miroir de l’ascenseur. J’écarte ses jambes outrageusement, et me mets à genoux derrière elle. Mes mains se posent sur ses hanches et mon visage s’enfonce dans sa raie. Le nez planté dans sa rosette, ma langue commence à lécher le nectar d’amour qui suinte entre ses lèvres. Leïla geint presque immédiatement. L’ascenseur sonne, on arrive à son étage, je me redresse et reboutonne mon pantalon.
— Remets juste ton blouson !
Elle obéit et sort juste après moi sa robe à la main. Elle ouvre la porte de son appartement, je la pousse dedans et claque la porte derrière nous. Je fonds de nouveau sur elle, mes mains sur ses seins, je la colle au mur. Je lui pince les tétons jusqu’à la faire crier. Cri étouffé par ma langue qui est dans sa bouche. Je passe ensuite mes mains sous ses genoux et lui fais décoller terre. Elle passe ses mains derrière ma nuque et m’enlace avec ses jambes. Je nous décolle du mur et l’amène dans son salon. Je la dépose ...