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D ang ling
Datte: 17/12/2019, Catégories: Mature, Inceste / Tabou Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Baron-rouge, Source: xHamster
... elle me manifestait que je n'étais le seul sur les rangs et qu’elle était d'une certaine façon fort courtisée. Je savais que cela n'était pas vrai. Elle était fort controversée. Peu voulait se compromettre à récupérer en son équipe une telle créature. Nombre de femelles s'y opposaient. Elle avait mauvais genre et était incompétente. Tel était la teneur de leurs discours. Au contraire je trouvais un certain panache à aller à l'encontre de ce lynchage. Je fis mine de croire à son conte et à ses scrupules. Je lui confirmais que mon offre tenait cependant. Je terminais mon mail par cette formule ironique que je serais chagriné que son talent allât à une autre équipe que la mienne. A ce moment j'étais sûre quelle voulait mordre à mon hameçon. Qu’elle était en sorte aux abois. Réduite à accepter ma proposition. Peu après je ne lui proposais pas moins de nous parler au téléphone. Comme nombre d'autres elle avait posé un congé maladie. Les couloirs étaient désormais déserts de sa belle personne. J’avais plus envie que jamais de la revoir. Lors de notre échange, je perçus dans sa voix une certaine lassitude. Elle m'avoua à demi que ce coup l'avait abattu et que comme tant d'autres elle n’avait vu rien venir. Elle eût même ce mot qu'elle se sentait vieille et dévalorisée. On lui signifiait qu’elle était un rebut. Ce discours allait à l'encontre de ce qu’elle m’avait raconté. On ne se bousculait pas tant à sa porte. Je protestais bien sûre que je croyais en elle et avais besoin de ...
... son expérience pour manager les nouveaux de mon équipe. Tout autre eût démasqué le bobard. Elle, manifestement avait l'esprit ailleurs. Elle me dit qu’elle allait réfléchir. J'eus à ce moment l'idée de la rencontrer pour poursuivre notre discussion. Je l'invitais à déjeuner. Elle déclina et me proposa plutôt de venir la rejoindre en un endroit où elle flânait à le midi peu loin de chez elle. L'idée m'en parut bizarre mais j'acceptais. C'était un grand square ou une sorte de jardin publique. Les premiers rayons du Printemps donnait à ce lieu une patine magique. J'y vins assez tôt pour le savourer et la voir venir au bout d'une allée. Je n’attendis guère longtemps. Sa charmante silhouette parut bientôt dans la lumière. Elle avait ce joli manteau qui masquait au premier chef ses appâts. On n'en voyait par dessous ses élégantes jambes juchées sur des escarpins. Sa belle crinière noire était argentée par les rayons du soleil. Je n'aurais pas pu rêver mieux comme entrée de scène. Mon cœur sonnait le tocsin. Il me fallait me reprendre bien vite et cacher mon trouble. Elle-même baissait la tête traversée sans doute de la même émotion. L'un l'autre nous attendions quelque chose de cette entrevue. Elle devait croyons-nous être décisive. Nous marchâmes jusqu'à un plan d'eau où nageaient des cygnes. Là elle examina avec une certaine tristesse dans les yeux, les volatiles. Ce spectacle en même temps qu'elle tirait sur sa cigarette gagna à la calmer peu à peu. Elle esquissa alors ...