1. Je découvre que ma mère est une cochonne, adepte de pratiques SM (1)


    Datte: 16/12/2019, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: tardemars, Source: Xstory

    ... litres de sperme chaud. Jamais ça n’avait été aussi bon de jouir. Depuis l’age de mes 13 ans et mes premières masturbations, j’avais tellement rêvé de ce moment là, jouir à l’intérieur de ma mère ! C’était l’extase, le summum de la jouissance.
    
    Après quelques instants pour se remettre, ma mère me demanda de la détacher. J’enlevais alors ses menottes. Elle se frotta un peu les poignets, douloureux d’avoir été ainsi entravés. Elle attrapa une boîte de kleenex, nettoya le sperme qui coulait entre ses jambes, puis se rhabilla, tranquillement. Elle rangea ensuite les menottes dans son carton qu’elle referma avec soin.
    
    — Ca t’a plu, Ludo ?
    
    — Heu oui.
    
    — Bon, tant mieux. Par contre, inutile de parler à quiconque de ce qui s’est passé aujourd’hui, et surtout pas à tes copains. C’est compris ?
    
    — heu... Bien sûr maman...
    
    — Bien ! En attendant, va mettre le couvert. On va bientôt manger.
    
    Nous nous sommes installés à table et nous avons mangé comme si rien n’était. Puis nous sommes allés nous dormir.
    
    Inutile de dire qu’après ...
    ... cette folle expérience j’eu du mal à trouver le sommeil. Ce que j’avais découvert de ma mère me laissait stupéfait. Découvrir son attrait pour les pratiques SM, ne serait ce que le fait d’être attachée pour se faire baiser, chose qu’elle avait dû faire avec bien des amants déjà, c’était complètement dingue. Mais qu’en plus elle accepte de faire ces choses avec moi, son propre fils, c’était fou... Sur le principe, j’étais choqué. Mais je devais avouer que j’avais aussi été extraordinairement excité. Je ne pouvais l’ignorer. Le sexe avec elle m’avait beaucoup plu et au moment de la pénétrer ma queue n’avait jamais été aussi dure. Je réussis malgré tout à m’endormir, avec la vision de son fantastique cul.
    
    Le matin ma mère vint me réveiller. Elle était habillée d’un sage pantalon noir et d’un chemisier blanc très discret. Douce et attentionnée comme à son habitude, j’en arrivais à douter que c’était la même femme qui m’avait ordonné la veille de la baiser.
    
    Et pourtant, le soir en rentrant de l’école une drôle de surprise m’attendait... 
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