1. Le locataire


    Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... déroulent pourtant sans changement. Alors que je pensais être contacté par Juliette pour un après-midi torride, rien. Même si je n’ai aucun droit, je trouve un peu fort qu’on m’aguiche et me transforme en animal sexuel sans donner suite.
    
    Pourtant la femme m’invite comme quelquefois à venir manger chez eux. D’habitude, c’est plutôt le dimanche midi, mais cette fois-ci c’est le samedi soir.
    
    C’est le mari, Éric, le mari cocu content, qui m’accueille. Il est seul.
    
    — Les enfants ne sont pas là ? je demande, intrigué.
    — Non, ils couchent chez mes parents. J’ai pensé que ce serait agréable une soirée entre nous.
    
    Oh, là là. Entre nous ! Que veut-il dire ? Juste lui et moi ? Il aurait une idée derrière la tête ? J’ai bien retenu que sa femme m’a parlé de relations avec des hommes. Mais moi, cela ne m’intéresse pas. Ce n’est pas parce que j’ai le cul érogène que j’envisage de me faire sodomiser.
    
    — Votre femme n’est pas là ?
    
    La réponse me sauve.
    
    — Si, elle est juste en train de se faire belle. Viens, passons au salon.
    
    La pièce est particulièrement sombre. Les volets sont fermés, les rideaux tirés. Seuls le canapé, ses frères les fauteuils et la table basse ont droit à un éclairage. Et encore diffus. Cela sent le traquenard. Il doit sentir mon recul car l’homme m’invite :
    
    — Entre, va t’installer ; je vais chercher le champagne. On va boire une coupe, cela va la faire venir. Tu sais comment sont les femmes…
    
    Non, justement pas vraiment. Moi, à part Juliette, ...
    ... mes seules aventures ont été avec des filles de mon âge.
    
    Il revient et on commence à boire.
    
    — Tu sais, en réalité depuis quelque temps nous vivons une sexualité séparée. Juliette t’en a certainement parlé. Je ne suis pas jaloux ; je pourrais difficilement lui reprocher ses aventures, mais je me suis aperçu que finalement Juliette s’accommodait très bien de cet état. Tu sais, elle a beaucoup de succès auprès des hommes. C’est bien normal : elle est si belle.
    
    Je me sens obligé d’aller dans son sens, et cet aveu ne me coûte pas.
    
    — C’est vrai : c’est une belle femme, et une belle…
    
    Mais je m’arrête car j’allais prononcer des mots que ce mari n’est pas prêt à entendre.
    
    — Je sais ce que tu allais dire : coquine, cochonne, amoureuse ou salope, peut-être. Rassure-toi, cela ne me vexe pas. Elle et moi avons toujours eu une sexualité accomplie, et ce n’est pas parce que nous essayons de garder une apparence respectable que Juliette n’est pas une femme volontaire et pleine d’initiatives au lit.
    
    Il semble réfléchir, regarde la porte, nous ressert à boire et reprend :
    
    — Mais je dois dire que ce que je découvre dans ses tiroirs me surprend. Je sais qu’elle garde une valise à l’hôtel, mais elle est bien obligée de ramener ses affaires pour les nettoyer. La lingerie, les robes, et même des accessoires sexuels font partie de son monde personnel. Elle ne fait pas que prendre des amants pour satisfaire des besoins charnels, elle joue un jeu particulier de séduction. Tu as ...
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