-
Le locataire
Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe
... avec certitude. Pendant que ma bouche et ma langue explorent la fente, n’hésitant pas à aller titiller le petit trou d’un côté et revenir aspirer le clito de l’autre, Juliette se caresse les seins. De ses doigts nerveux elle torture ses tétons pour son plus grand plaisir. Placé comme je suis, mon regard glisse sur le ventre plat pour découvrir deux montagnes parfaites. Elle gémit, et maintenant je n’hésite plus à pousser trois doigts dans le con humide pour l’astiquer. — Viens. Viens. Prends-moi. On ne refuse pas une telle invitation, d’autant que ma queue a déjà retrouvé sa vigueur. Les jambes se soulèvent d’elles-mêmes pour venir s’appuyer sur mes épaules. Mais je m’en saisis pour les ouvrir encore plus et bien profiter de la vue de cette chatte lisse et douce. Il suffit que je fléchisse un peu les jambes et mon dard trouve son chemin. La route est dans une vallée où l’on ne peut que glisser. Mon bout ouvre le sillon et plonge sans résistance. Elle est ouverte, offerte, gluante de ma salive et de son désir. — Vite. Vite. Baise-moi. Oh, le pouvoir des mots. Une poussée et mes couilles butent, mais c’est pour mieux rebondir. Combien de fois l’ai-je barattée, encouragé par la femme que je laboure et qui en demande toujours plus ? Un marathon n’est rien comparé à la baise de fond que j’assure. Nos corps ruissellent. Juliette n’est que gémissements et spasmes me rendant le plus heureux des amants. Mais elle me bouscule. Je me retrouve sur le lit, ...
... chevauché par une cavalière qui s’empale sur ma queue de plus en plus dure et presque insensible à ce traitement. J’ai sous les yeux le magnifique spectacle de la bourgeoise déchaînée qui se baise tout en se caressant le bouton. Moi, je joue avec ses seins. Deux masses si fermes et tendues qu’elles ne bougent presque pas sous les mouvements de leur propriétaire. Enfin, un orgasme plus fort que les autres lui déclenche des spasmes de plaisir qui aspirent littéralement ma semence. Je l’inonde avec délectation et avec la joie du travail accompli. Il nous faut quelques minutes pour reprendre notre souffle. Mais déjà je repense à la photo du cul occupé par la queue du corbeau, et je me dis que nous pourrions essayer ; mais j’entends ma maîtresse me dire, avec ménagement, mais dire quand même : — Il faut que tu partes. J’ai juste le temps de prendre une douche avant qu’il n’arrive. L’autre ! J’avais complètement oublié l’autre qui avait téléphoné pour certainement annoncer un retard. Ce n’est pas croyable. Elle va continuer avec son amant. La saaalooope ! _________________________________________ La semaine suivante, je n’ai rencontré Juliette qu’avec ses enfants. Sur le trottoir lorsque je les croise, il me faut faire un effort d’imagination pour retrouver sous le costume de mère et d’épouse la femme que j’ai découverte à l’hôtel. Elle me salue le plus simplement du monde, comme si rien ne s’était passé. Je n’ose pas provoquer une rencontre de peur de me faire ...