1. Le locataire


    Datte: 16/12/2019, Catégories: fh, fplusag, hotel, Oral pénétratio, hdanus, hsodo, confession, Auteur: RobertAnne, Source: Revebebe

    ... voilà donc le fameux bijou dont ils parlaient tout à l’heure.
    
    — Le mien est bleu, me dit Éric qui suit mon regard.
    
    Des pervers. Voilà chez qui je suis tombé. Mais cette pensée ne m’arrête pas. Ma queue décide pour moi. Je l’enfourne d’une poussée dans le vagin bien ouvert et déjà humide. Le plug rend le passage plus étroit, mais c’est une pression délicieuse. J’imagine un instant que tout à l’heure ce sera celle du mari ou la mienne et que tous deux nous baiserons sa femme en sandwich.
    
    Le mari n’est d’ailleurs pas seulement spectateur. Je le sens qui rampe sous moi et suce ma queue et mes couilles alors que je baratte son épouse. Une langue de femme ou d’homme ne font pas grande différence. C’est assez excitant et je me surprends à aimer ce contact. La langue ne fait pas que glisser sur mon sexe, elle pousse aussi une exploration vers mon petit trou, mais cela ne dure pas. Éric s’en va.
    
    Un long moment, je le pense parti ou juste voyeur du couple qui s’active. Sa femme ne se retient pas, ou plutôt je pense qu’elle s’extériorise pour satisfaire son mari. Moi, je n’ai qu’une pensée : baiser. Baiser. Baiser et tenir. Tenir le plus longtemps possible, passant des grandes envolées aux lentes pulsations pour mieux me contrôler.
    
    Je sens à nouveau des mains qui caressent mes fesses. Encore une fois, cela ne peut être Juliette que je vois se caresser un sein et le clito. Ce sont donc celles du mari. Un homme me caresse. Mais, à bien y réfléchir, si je ferme les yeux, ...
    ... les mains sont douces et agréables. Il glisse un doigt dans mon sillon et l’amène vers mon anus. Ma corolle apprécie le contact. La garce aime qu’on la titille. La garce se laisse aller. Je n’ai pas mon mot à dire que déjà elle s’est laissé faire et s’est ouverte pour le doigt qui glisse dans mon cul. Un doigt glisse, mais les autres frottent à la porte. Un deuxième vient s’associer.
    
    Je m’immobilise bien à fond entre les cuisses de la femme pendant qu’un homme, le mari, me baise le cul.
    
    Oh, il sort après m’avoir bien bourré de ses doigts. Je vais reprendre mes mouvements dans le vagin lorsque je sens qu’un objet autrement plus gros pointe à la porte de cette satanée corolle. Une poussée et elle s’ouvre comme une pute. Toute résistance est inutile, et d’ailleurs en ai-je vraiment envie ?
    
    Je sens la queue du mari avancer en moi comme moi je suis entré dans la grotte de sa femme. Bientôt ses couilles viennent marquer la limite. On m’encule à fond. Ma propre queue n’est maintenant que la continuité de ce qui me prend le cul.
    
    Vite il me bourre, comme si le temps lui était compté. Pourtant, loin de moi l’idée de protester. C’est si bon… Délicieusement douloureux, ce gros braquemart, court mais large qui m’encule.
    
    Sans même bouger je sens monter mon plaisir, et alors que je balance ma purée, le foutre de l’homme me lessive les boyaux. C’est chaud, ça brûle, ça brûle…
    
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    — Oh, je suis désolée… dit une voix qui me ramène à la ...