Un bien curieux match de rugby - Histoires de Sexe

Un bien curieux match de rugby

... mais plus personne ne s’y intéresse, une mêlée (ouverte) bien plus excitante est en train de se former. N’y tenant plus, je la renverse sur le canapé et la prends en levrette. P. a libéré sa verge et la lui fourre dans la bouche. La voir sucer avec beaucoup d’application ce mec qu’elle ne connaissait pas il y a une heure m’excite au plus haut point et j’accélère mon mouvement de va-et-vient. Mais déjà E. sollicite la place. Je la lui cède à contrecœur. Ma femme se cambre au maximum pour recevoir le membre gonflé. Elle qui faisait sa timide tout à l’heure ! Je décide de prendre la place de P. dans la bouche de Dominique. E. laboure la chatte de Dominique, les claques sonores qu’il lui donne ont rougi ses belles fesses.

P. l’encourage, claque lui aussi sa main sur ce cul offert. P. s’est maintenant allongé sur le canapé. La petite cochonne s’empale sur ce pieu dressé et gigote tant et plus, une queue, celle de E. et la mienne dans chaque main, qu’elle suce à tour de rôle. Je la connais très bien et là je sais qu’elle jouit comme jamais. Moi je n’en peux plus et je me déverse dans sa bouche. E. vient lui aussi faire laper son sperme par ma petite salope que je n’avais jamais vue dans cet état. P., lui, préfère la retourner sur le dos et se finir sur ses seins.

Après quelques instants ...

... d’accalmie nous remettons ça. Enfin eux, parce que moi je préfère rester un peu en retrait et profiter du spectacle. Pendant que mes deux copains se relayaient sur le corps de ma belle je récupère mon appareil photo. Je prends quelques clichés à l’insu de ma belle qui ne se rend compte de rien, bien trop occupée avec ces deux queues.

Tout a une fin, je raccompagne mes potes, visiblement pas déçus de leur après-midi. Bien sûr, le match est fini depuis longtemps (j’ai regardé la deuxième mi-temps en replay le lendemain).

Dominique, un peu gênée, m’avoue avoir eu plusieurs orgasmes. En rentrant du restaurant, le soir, je la baise (on peut dire ça comme ça) avec frénésie.

Nous n’avons plus jamais reparlé de cet après midi déjanté. Je vous avoue que pour ma part j’y pense très souvent quand je lui fais l’amour et ça m’excite énormément. Surtout si j’ai maté les photos que j’ai prises ce jour-là, qui sont bien à l’abri sur une clé USB.

Je revois quelquefois les deux lascars. Ils me demandent évidemment si je compte les inviter à voir un match, un de ces jours. Pour l’instant je n’en ai pas envie. Je me dis que P. pourrait renvoyer l’ascenseur, E., lui, n’est pas en couple.

Par contre, Dominique m’a innocemment demandé fin janvier s’il y avait encore des matchs de rugby cette année !