Julie Julie Julie (4)
Datte: 15/12/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Mefisto, Source: Xstory
... louchai sur les dizaines de courtes lanières de cuir noir qui le composaient. Ça avait l’air douloureux. Mais elle n’oserait pas y aller trop fort non ?
— Claque-moi le cul, me résignai-je en redoutant la suite.
Mireille ramassa le fouet et le promena sur mes fesses avec douceur, me faisant frissonner de crainte. Je la sentis lever le fouet au-dessus d’elle. Je serrais les dents et les fesses. « Clac ! »
— Ah ! criai-je en me cambrant.
Le fouet avait claqué et produit un gros bruit sur mes fesses, m’arrachant un cri. Elle n’avait pas fouetté trop fort et c’était surtout un cri de surprise, me faisant sentir toute ridicule.
— Comme il était mignon ce cri, enfonça-t-elle d’une voix un peu sadique.
Avant d’avoir pu répliquer, elle m’asséna un autre coup, faisant de nouveau retentir un « Clac ! » à travers toute la pièce sur mes pauvres fesses endolories. Je dus fermer la bouche pour ne pas laisser échapper un autre cri, et priai pour que cela s’arrête bientôt. Mais Mireille semblait bien trop apprécier ça pour s’arrêter et elle continua à martyriser mon postérieur en envoyant des coups de plus en plus fort. C’est vraiment mon cul qui fait ce bruit ? Pensai-je un peu honteuse en me demandant si des voisins pouvaient entendre. Pendant que résonnaient les « Clac ! » du fouet sur mes fesses et le « Bzzz » des œufs toujours allumés, je me surpris à réaliser qu’une partie de moi aimait ça. Parce que j’avais approché de l’orgasme, ou à cause des œufs qui me ...
... stimulaient, ou encore que le plaisir de ma dominatrice de me malmener était contagieux, toujours est-il que je commençais à m’exciter à mesure que le fouet s’abattait sur moi.
Maintenant, mes fesses devaient être bien rouges et chaque coup les faisait chauffer un peu plus, sans compter qu’à cause de toutes ces lanières après chaque coup, mes fesses pétillaient de douleur, comme s’il y avait un feu d’artifice sur ma peau. Mes fesses étaient maintenant toutes sensibles et les coups devenaient de plus en plus forts. « Clac ! », « Clac ! », « Clac ! ». La douleur devenait trop intense. « Clac ! », « Clac ! », « Clac ! ».
— Arrête, gémis-je en tirant sur mes liens.
— Clac !
— J’ai dit arrête ! m’énervai-je en relevant la tête.
— Oh désolée, je me suis laissée emporter, s’excusa platement Mireille en déposant le fouet à terre.
Je soupirai de soulagement ; j’avais craint un instant qu’elle n’allait jamais s’arrêter. De nouveau, elle quitta la pièce, me laissant seule avec mes fesses douloureuses et mon excitation toujours entretenue par les œufs. Maintenant que mes fesses étaient tranquilles, je ressentais des picotements de douleur en permanence sur toute ma peau qui me donnaient l’envie irrépressible de me gratter. Et plus les secondes passaient, plus la démangeaison s’amplifiait, me rendant folle. Cela me démangeait tellement que je dus me retenir de crier pour ne pas faire revenir Mireille.
— Je suis de retour, annonça gaîment Mireille au bout de ce que je pensais ...