Julie Julie Julie (4)
Datte: 15/12/2019,
Catégories:
Lesbienne
Auteur: Mefisto, Source: Xstory
... alors.
Mireille me sourit et descendit du lit d’un coup, me faisant sursauter et me laissant sans personne à serrer dans mes bras. Elle se dirigea vers une armoire avec énergie. En voyant l’entrain qu’elle mettait, je commençai à me sentir un peu mal à l’aise. J’avais peut-être fait une bêtise en acceptant. Elle revint souriante, une barre de contrainte à la main qui possédait quatre sangles : deux aux extrémités et deux au milieu. La vision de Mireille souriante jusqu’aux oreilles en tenant cet objet me fit frissonner. Elle se jeta sur le lit et me regarda intensément.
— Il faut que tu tendes tes pieds.
Après une hésitation, je tendis mes pieds vers elle, pieds qu’elle saisit délicatement et qu’elle mit dans les sangles des extrémités. Je ne pouvais maintenant plus resserrer mes pieds ni fermer les cuisses.
— Maintenant, j’ai besoin que tu te mettes à genoux sur le ventre.
Je m’exécutai en réprimant ma peur et gémis intérieurement quand je sentis Mireille me saisir les mains pour les tirer vers mes pieds. Elle les positionna dans les sangles qu’elle ne ferma pas tout de suite, semblant savourer ce moment. Elle finit tout de même par me les immobiliser, me bloquant dans une position peu confortable et assez humiliante : mes mains passant sous mon ventre, mes quatre membres étaient attachés à la barre au niveau de mes pieds, me forçant à me cambrer le cul en l’air, mes genoux contre mon ventre et ma tête sur le lit. Ma respiration se saccada et je commençai à ...
... trembler, le silence de Mireille n’aidant pas à me calmer.
— Essaye de te libérer, m’ordonna-t-elle d’une voix ravie.
Sans réfléchir, je m’exécutai, tirant sur mes pieds et mes mains, essayant vainement de trouver un moyen de me sortir de là. Cela devait être un spectacle ridicule à voir, car Mireille se mit à rire et me donna une claque sonore sur mes fesses, m’arrachant un petit cri.
— J’adore le balancement de ton cul quand tu essayes de te libérer.
Je ne sais pas si elle voulait me rassurer en disant ça, mais cela provoqua l’effet inverse et je commençai à complètement paniquer. Je détestai être sans défense ! Je voulais lui dire de me détacher, mais tel un animal terrorisé, je ne pus articuler un mot et je me crispai quand je sentis les mains de Mireille se promener sur mon corps avec voracité. Elle me caressa, me tata et me massa pendant plusieurs minutes, mais j’étais bien trop crispée pour apprécier ça. Même quand elle s’attaqua à ma poitrine pourtant si sensible, je ne ressentis aucune excitation.
— Tu es bien trop tendue, faut que tu te détendes, me conseilla Mireille en me tenant un sein.
— F-facile à dire, je t’ai dit que je n’étais pas à l’aise attachée, dis-je un peu fort.
Elle se mit face à moi et s’allongea pour faire face à ma tête que je pouvais à peine bouger.
— Je n’aurais jamais cru te voir dans un tel état, se moqua-t-elle gentiment avec une lueur d’excitation qui me faisait peur.
Elle me prit par le menton et sans que je ne ...