1. Ping-pong chez les naturistes


    Datte: 15/12/2019, Catégories: fh, couple, vacances, forêt, Voyeur / Exhib / Nudisme Auteur: Lucien Ramier, Source: Revebebe

    ... beaucoup. Samedi à sept heures du matin, j’étais debout pour la toilette et un déjeuner sommaire. À huit heures, je prenais la route sans avoir revu le petit couple ami. J’étais impatient de retrouver mon épouse pour la convaincre. Tout me semblait maintenant possible avec la rencontre de ce jeune couple. À midi, j’arrivais à l’appartement à Nantes.
    
    ***
    
    Ma Pénélope de Marianne m’attendait. La table était mise pour le déjeuner de midi. Mon épouse semblait tout attentionnée.
    
    — Ce sont les vacances, chéri ! Nous n’en avons pas encore parlé.
    — Vraiment ! C’est curieux, je pensais la même chose.
    — Les Perret vont dans les Landes cette année. Ils ne veulent plus aligner des kilomètres pour aller d’hôtel en hôtel ou de restaurant en restaurant, en Espagne ou en Italie, avec nous comme d’habitude. Pourquoi n’irions-nous pas avec eux nous reposer dans la forêt landaise ? Ils partent demain dimanche dans l’après-midi.
    — Écoute, chérie, aller dans les Landes et se reposer, je suis moi aussi d’accord, et c’est ce que j’allais te proposer. Mais accompagner les Perret, non, c’est autre chose. Ils ont parfois des idées saugrenues, ils vont encore nous imposer leurs vacances bien à eux. Nous ne serons pas libres une fois de plus. J’ai une autre idée. On verra tout à l’heure. Je suis un peu embarrassé pour t’en parler maintenant.
    
    Le repas se déroulait, et Marianne avait visiblement hâte qu’il se termine. Elle se demandait peut-être quelle était cette idée si mystérieuse. ...
    ... J’étais maintenant sous la douche avant d’entamer la sieste traditionnelle des jours de retour. Marianne, comme d’habitude, allait me rejoindre au lit après avoir débarrassé les couverts. Je fus très surpris ce jour-là de la trouver sur le lit avant moi. Elle m’attendait nue sous le couvre-lit.
    
    — C’est le moment de parler des vacances comme je les aimerais.
    
    Surpris, je lui dis :
    
    — Tu ne voudrais quand même pas les passer nue dans les Landes ?
    — Chiche ? Je te connais comme si je t’avais fait : tu as la bougeotte et tu serais bien incapable de passer quatre jours au même endroit.
    — Tope là ! Mais tu m’as bien dit nue ! Et complètement nue ! Et pendant quatre jours, à l’ombre des pins, bien entendu.
    
    Je sentis avant de lui dévoiler les détails de mon projet que c’était gagné. Une envie irrésistible de lui dire un grand merci m’envahit alors. Comme pris d’une soudaine folie, je me mis à parcourir ce corps chaud et parfumé de mille caresses et baisers de toutes sortes. De son côté, elle se déchaîna à son tour. Nos corps étaient soudés dans une joie frénétique. Quand je pénétrai de mon vit son antre amoureux, je m’inquiétai de voir couler une larme sur sa joue.
    
    — Mais non ! Grand idiot ! Ne t’inquiète pas, tu vois bien que je suis heureuse. Je compte bien que ce sera tous les jours comme ça, pendant nos vacances dans les Landes. Mais, dis-moi, question pratique : tu n’as rien loué, par hasard ?
    — Pour quatre jours, nous pouvons toujours nous servir du fourgon. C’est mon ...