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14 juin 2012
Datte: 15/12/2019, Catégories: fh, Collègues / Travail Oral pénétratio, Humour Auteur: OlivierK, Source: Revebebe
... comprendre ce qu’elle disait. Et quand je comprenais, j’comprenais encore pas tellement c’était obscur. — Moi je n’ai jamais rien compris aux plaisanteries de François. — Quel déchirement pour vous quand il est parti, le volage, hein Ségolène ! J’connais ça. — Oh c’est du passé, tout cela ! Savez-vous que quelqu’un a dit, à propos de notre débat d’il y a cinq ans, que c’était un mauvais dialogue entre deux cocus ? — Nous n’avons pas été très bons, en effet. — Non. Le nombre de sous-marins lanceurs d’engins, l’électricité nucléaire… — L’immigration, les banlieues… — Les impôts ! — Et ta fausse colère à propos des gamins débiles ! Tiens, je t’ai tutoyée. Excuse, c’est l’habitude, j’tutoie tout le monde, tu l’sais bien. — Oui, Nicolas. Mais je suis contente que tu me tutoies. Tu ne m’en veux donc pas trop de t’avoir battu ? — Ségolène… Tu permets que je m’assoie sur le lit, à côté de toi ? — Mais fais comme chez toi, Nicolas. — Ségolène, je peux bien te le dire maintenant mais pendant notre dernier débat, quand j’ai perdu pied parce que tu parlais de la niche fiscale des pipiers de Saint-Claude… — Oui, Nicolas, continue. — …j’ai pensé à Bill et à la stagiaire, dans le bureau ovale du collègue. — Ah ! — Non, Ségolène ! Je viens de te mentir, excuse-moi. C’est à toi que j’ai pensé, évidemment. Ton :Ah ! de déception - c’était bien ça, hein, ta réaction ? — Oui, Nicolas, je dois le confesser. Alors c’est à moi que tu as pensé, vraiment, Nicolas ? — Ségolène, ...
... depuis que je t’ai vue à la télé en robe presque transparente, au milieu d’un cercle de militants, voilà plus de cinq ans… — Oui, Nicolas ? — Ségolène, je t’aime ! Je suis fou de toi. — C’est bien vrai, Nicolas ? Ah, que je suis heureuse ! — Tes lèvres, Ségolène, donne-moi tes lèvres… Oh, qu’est-ce j’aime t’embrasser ! — Mumumumuum… Moi aussi. — Ta bouche m’a toujours fasciné. T’as remarqué qu’je regardais qu’elle quand on blablatait à la télé ? Tes dents de nacre… — Ah, tu as fini par lire "La Princesse de Clèves", toi ! — Te moque pas. Laisse-moi ouvrir ton corsage. — Tu vas y trouver autre chose que chez ta Carlita. — Me parle plus d’elle, j’te dis ! Oh, qu’est-ce qu’ils sont beaux ! Et sensibles, hein ? — Pas trop de violitude, je te prie. Ne mordille pas ! — Mais j’mordille pas ! Pasqu’y en a qui t’ont mordillée, hein ? Ah les cons ! J’les pendrai à un croc de boucher. — J’aime ta fougue. Mais ne déchire quand même pas mon string, je te prie. Et attends que j’ôte ma robe de soie rose. Où puis-je la déposer ? — Balance-la sur la commode. Ah, ça sent bon ! Sensas, ce petit triangle. Taillé pile-poil, comme disait l’autre. Hum, lap, clap, slush, gnonf, gloup, ah, c’que tu mouilles ! C’est moi qui te fais cet effet, hein ? — Aide-moi un peu à descendre ta braguette, ça coince. — J’me dessape vite fait, attends ! … Alors ? Alors, tous les abrutis qui me traitent de nain, ils ont bonne mine, hein ? Touche voir un peu. Profite ! — Oh, je ne vais pas que toucher, ...