Myriam, source de plaisir (2)
Datte: 14/12/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: King Papa, Source: Xstory
... Myriam se réveille, elle gémit de plaisir. Puis je me relève et l’embrasse, elle répond à mon baiser avec passion, elle est complètement soumise et elle aime manifestement ça. Je lui masse délicatement les seins, ils sont gonflés d’excitation, les mamelons durs au point qu’ils doivent lui faire mal ...
Ah, oui, voilà, je prends les pinces à seins et je le fixe à ses tétons. Elle crie encore, je m’amuse à tirer un peu sur la chaîne, je la fais bouger et elle pousse des petits cris qui ne trompent pas sur le plaisir qu’elle éprouve. Myriam est suspendue en l’air, je bécote son cou, ses oreilles, sa poitrine, chaque nouveau contact la surprend et l’électrise un peu plus, elle râle de manière ininterrompue maintenant et se tortille dans tous les sens. Je mets ma main sur sa chatte et elle couine de plaisir, je décide de l’envoyer encore une fois au septième ciel en lui mettant un, deux, trois doigts dans la chatte et en la branlant brutalement. Suspendue comme elle est elle bouge dans tous les sens mais ne peut rien faire pour échapper à la torture, et encore une fois elle jouit abondamment sur ma main, ses cuisses sont trempées et une petite flaque se répand sur le sol de la pergola.
Cela fait plus d’une heure et demi que je joue avec Myriam, et il serait temps que je me vide les couilles. Je me place devant elle, suspendue à sa potence, et je plonge ma queue dure comme rarement dans sa chatte largement ouverte. C’est à peine si je la sens, elle est liquéfiée et ...
... complètement béante, mais je la tringle brutalement, en lui disant qu’elle est une salope, une chienne en chaleur, la chaînette se balance et tire sur ses tétons, elle perd la tête, se met à jouir longuement et au comble de l’excitation j’éjacule enfin au fond de son ventre.
Et je la trouve belle !
Comme je suis vicieux, je prends des photos de Myriam suppliciée, suspendue à sa potence, les jambes écartelées, la chatte dégoulinante, la tête tombant sur sa poitrine. Puis je détache ses chevilles, je la maintiens avec mon épaule, détache ses bras de la barre horizontale (pas facile à déchirer ce film alimentaire !), elle est pantelante dans mes bras et comme la veille au soir après notre jeu je la transporte jusqu’au matelas pneumatique, où je la dépose prudemment. Je m’allonge près d’elle, la prends dans mes bras, elle réagit et se serre amoureusement contre moi en me disant que je suis fou, qu’elle a joui comme une folle et qu’elle n’imaginait même pas ça possible. On reste un long moment comme ça, l’un contre l’autre, je l’embrasse dans le cou, sur toute la peau que je peux atteindre, et nous somnolons à l’ombre du cèdre bercés par la brise qui bruisse dans les peupliers et le crissement des cigales.
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Le soir est arrivé, nous avons dîné dehors, aux chandelles et avons bu beaucoup de vin en riant.
— J’en reviens pas de ce que tu ...