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Mon stage de 3ème année
Datte: 14/12/2019, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Mardimatin, Source: Hds
... hypnotisé. Sans parler j’enleve mes chaussures, mon polo puis mon pantalon. Je m’arrête. Je l’observe baisser les volets et fermer la porte. Il me regarde et m’ordonne avec douceur : ne sois pas gené enlève ton calecon et tes chaussettes ; je veux te regarder des pieds à la tete. Ton corps ne doit plus avoir de secrets pour moi ni de gènes. Mon esprit est déconnecté : j’enleve mes chaussettes puis mon calecon. Je suis completement nu dans ce bureau froid. Pierre me regarde et me sourit. Pierre : tu es parfait. Tout est beau chez toi. Tes orteils et doigts sont parfaitement droits. Tes jambes et ton sexe ne sont ni trop poilus ni pas assez. Cette petite bande de poils qui remonte à ton nombril doit rendre folles toutes les filles ? Mets-toi à l’aise et oublie que je suis ici : masturbe toi. Je m’assois à même le sol ; le dos contre le mur, je ferme les yeux et tiens fermement mon sexe. Je n’arrive pas à penser, j’effectue des mouvements de va-et-vient, comme si j’effectuais un travail monotone et répétif, un travail à la chaine dans une usine de montage. Ma bite devient dure et ma respiration est haletante. Pierre me regarde et j’ai l’impression qu’il me prend en photo avec son teléphone. Soudain je le vois s’approcher : enlève tes mains et laisse moi te contempler. J’écarte ma main et le laisse découvrir pleinement mon sexe. J’ai l’impression d’etre comme ce petit enfant qui a volé un jouet qu’il cache derrière son dos lorsque son professeur lui ordonne de ...
... tendre ses mains pour voir ce qu’elles contiennent. Mes mains posées sur le sol, mes yeux tournées vers mon gland par gène de croiser son regard, je lui présente ce que j’ai de plus intime. Mon sexe est tout à fait normal : une quinzaine de centimètres, bien dur, droit et qui tend fièrement vers le haut quand je suis en érection. Soudain il empoigne fermement ma queue, il me tient comme s’il tenait la laisse d’un chien. Je le regarde sans rien dire. je ne ressens ni plaisir, ni crainte ou peur, j’effectue ce qu’il me demande. Mon corps est à lui. Je lui demande l’autorisation de boire un verre d’eau et de fumer une cigarette. Il relache mon sexe qu’il tenait toujours fermement puis je me redresse pour me servir un verre d’eau à l’opposé de la pièce et prendre mon paquet de clopes. Il m’observe sans rien dire. Je suis nu, je bois ce verre d’eau mon pénis tourné vers le ciel. Je ne me sens plus gêné par la situation, ma nudité, mon érection deviennent naturelles. Je me rassois et continue ma tache en lui demandant si je dois éjaculer et s’il a des mouchoirs. A ma surprise il m’interdit de m’essuyer : « ton sperme est ta continuité, ne sois pas dégouté, jouis librement et remets tes vêtements ». Je reprends mon travail tout en allumant une cigarette. Je me sens complètement détendu. Une clope dans la bouche je sens l’éjaculation arriver, un bonheur interne qui ne demande qu’à éclater. Je décide de ne pas me contenir et laisse monter en moi liquide. En une profonde ...