Marie-Laure - ma mère 2
Datte: 14/12/2019,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: estevesg, Source: xHamster
Marie-Laure - ma mère 2 suite
Dimanche - Vendredi
le dimanche matin je fis la grasse matinée, pas de sport aujourd'hui mais du farniente, espérant profiter de la présence de ma mère sans l'espoir qu'il se passe quelque chose entre nous.
Lorsque je me levais elle finissait son petit déjeuner attablée à la cuisine vêtue d'un peignoir mal fermé qui cachait à peine sa poitrine et lorsque je l'embrassais, elle étira son visage vers moi faisant par la même occasion jaillir un sein.
Elle remit son sein en place en souriant, je lui rendis son sourire, montrant mon plaisir de voir son sein lourd nu.
-J'ai terminé, je te prépare des tartines de pain grillé mon chéri ?
-Avec plaisir maman mais je le ferais.
-Laisses toi faire, mon fils, c'est mon plaisir de m'occuper de toi, je veux te garder.
Je la laissait faire, c'était si gentiment proposé mais ses paroles semblaient pouvoir avoir un sens caché. Je me plaisais à imaginer qu'elle ne songeait pas uniquement à satisfaire mon estomac.
Elle se leva et entrepris de couper deux tranches de pain. Le fin tissu du peignoir était plaqué sur ses grosses fesses, nues j'en étais certain, qui se mirent à onduler sous les mouvements.
Lorsqu'elle posa mon petit déjeuné sur la table, ses seins se mirent à la verticale.
-Décidément, mes seins ont envie de liberté ce matin dit elle en se réajustant.
-le les comprends, pourquoi cacher de telles merveilles
--Flatteur va, dit elle en m'embrassant sur le front. Je ...
... vais au marché voir si je trouve du poisson.
J'avais passé mon bras autour de sa taille lorsqu'elle m'embrassa et je laissais trainer ma main sur sa croupe quand elle s'éloigna sans qu'elle ne me fasse de remarque.
Il va sans dire que je me caressa aussitôt qu'elle eut quitté la pièce avec la main qui avait frôlé son fessier callipyge.
J'attendis avec impatience son retour, imaginant mille situations plus sensuelles et érotiques les unes que les autres.
Mes rêves étaient trop hardis en comparaison avec la réalité, et si elle se mit à l'aise et revêtit une simple combinaison en satin bleu sous laquelle on devinait la marque de la culotte qui, c'était une habitude, entrait dans la profonde raie. Je l'avais imaginée portant un simple paréo sous lequel elle aurait été nue, bien évidemment. On était loin cela.
Je l'aidais à préparer le repas, ce qui n'était pas dans mes habitudes, je ne mettais jamais les pieds dans une cuisine lorsqu'il s'agissait de cuisiner, ma mère et ma femme ensuite étaient bien plus douées que moi en la matière.
Ma mère s'en étonna et je prétexta que je devais m'y mettre car avec mes déboires sentimentaux je devais apprendre à me débrouiller seul.
-Mais je serais toujours là pour t'aider mon fils, je ne te laisserais pas mourir de faim.
-Tu es un ange maman lui dis je en entourant sa taille et en déposant un baiser sur son épaule nue.
-C'est un plaisir pour moi de m'occuper de toi. Je commençais à m'ennuyer à la retraite.
Elle me ...