La sorcière Althéa (4)
Datte: 14/12/2019,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... Althéa…
C’est tellement intense. Je plains ceux qui ne connaitront jamais une expérience pareille. On ne peut pas se cacher, on ne peut pas se mentir, on ressent ce que l’autre ressent d’une façon totalement sincère. Nous ne faisons qu’un. Je peux sentir combien elle m’aime, qu’elle tient à moi. Je n’avais aucune idée que ses sentiments à mon égard étaient aussi forts, cela me touche au plus profond de mon âme et fait croitre mon propre amour pour elle.
J’ai toujours pris plaisir à sentir ma partenaire prendre son pied, et comme manifestement elle aussi, j’ai l’impression que nous alimentons tous les deux une spirale d’extase infinie.
— Prends-moi plus fort. Fais-moi sentir que tu m’aimes.
Oh, oui ! Je veux le lui faire sentir, le lui faire comprendre. Vu que j’en ai désormais les moyens, j’augmente mon rythme. L’effet est immédiat, nous gémissons de concert. Je viens à la rencontre de ses lèvres, un frisson nous parcoure lorsque nos langues s’entremêlent.
— Althéa… je t’aime !
— Oui, je le sens. J’en veux encore.
Ce partage est enivrant, tous les amants devraient connaitre cette sensation au moins une fois dans leur vie. C’est tellement bon d’aimer et de se sentir aimer. « Faire l’amour » prend soudainement une tout autre dimension.
— Tu veux sentir combien j’aime lorsque tu m’encules ? me propose-t-elle tout à coup.
Un peu que je veux !
Elle se met à quatre pattes. Je lui prépare son petit trou avant de m’enfoncer dedans. Je la prends à bonne ...
... cadence. Je me demandais si une femme pouvait vraiment aimer la sodomie, je peux enfin le confirmer, c’est encore meilleur que lorsque je la prenais en missionnaire. Elle en raffole vraiment, c’est dingue. Je deviens un peu plus brutal, je sens effectivement qu’elle aime ça. Je lui donne une fessée, j’en frissonne moi-même. Je la tire par les cheveux, une vague d’euphorie m’envahit.
— Oh, putain, mais t’es vraiment une salope ! fais-je.
— Oui ! Oui ! Démonte-moi comme ta chienne !
Plus je suis violent, plus je prends du plaisir à travers le sien, donc plus cela m’incite à continuer. Chaque chose que je fais pour elle, je le ressens aussi pour moi. En cherchant à la rendre folle, je me rends fou moi-même. Je n’ai jamais rien ressenti d’aussi fort. Un tel plaisir, un tel bonheur.
— Galléo… je vais jouir…
— Je sais, fais-je.
Son orgasme est aussi mon orgasme. Elle se laisse aller, moi, je me retiens un peu ; j’essaie tout du moins. Son désir de jouir est plus fort que le mien d’attendre, du coup, je cède. C’est son sortilège, elle connait les conséquences, elle sait qu’elle ne sera pas seule et que cela va me faire me décharger. Si c’est ce qu’elle veut pour nous deux, pourquoi serais-je assez fou pour lui dire non ?
Je la lime encore un peu, puis je la sens partir. Enfin, je NOUS sens partir. Le feu qui explose dans son bas-ventre se déclenche en même temps que mes valves qui s’ouvrent. Nous grognons tous les deux de plaisir infini. Je gicle un premier jet ...