Omar - La Traite des Blanches
Datte: 12/12/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byCoulybaca, Source: Literotica
... le grondement des moteurs du navire loin du port.
Omar lui souriait railleur, Laurie bégaya :
- "Où ..... Où suis-je .... S'il vous plait ..... Je dois partir ..... Mon ... Mon mari va s'inquiéter ..... Il va se demander ou je suis ...... "
Mais elle réalisa rapidement que ce n'était que le début d'une longue épreuve lorsqu'Omar fit entrer un premier groupe de 7 matelots dans la cabine.
Pendant les trois jours que dura la traversée pour Mexico, Laurie Walker la gentille petite ménagère adorable s'était transformée en une putain folle de son sexe capable de satisfaire tous les besoins des clients avec sa bouche, son con et son trou du cul, de les branler avec ses pieds, ses mains, une véritable pro capable de satisfaire toutes les exigences luxu-rieuses.
Et elle ne refusait pas de les voir juter sur elle, bien au contraire elle pointait leurs bites sur elle pour les faire gicler sur ses joues et son men-ton.
Comme les matelots avaient une demi heure de battements, ils les avaient autorisés à satisfaire leur lubricité pendant la totalité de cette demi-heure.
Et comme sur cette croisière, ces temps de récupération étaient signés chaque jour pour la matinée et l'après-midi.
Ils n'hésitaient pas à dépenser leur solde pour se taper la somptueuse blonde, plusieurs revinrent plusieurs fois pour profiter de tous les plaisirs qu'elle pouvait leur offrir au cours de ces trois jours, branlette, pipe, chatte, trou du cul ..... Certains mêmes payèrent pour ...
... assister à ses partouzes avec sept hommes se contentant d'envelopper leurs bites de ses cheveux roux pour lui offrir un shampoing crémeux.
Omar prit grand soin de sa marchandise, lui accordent des pauses dou-che et s'assurant qu'elle était bien nourrie.
Le soir, après le souper, elle couchait à ses cotés jusqu'au lendemain matin, bine sur, il la réveillait quand il avait besoin d'assouvir à son tour sa lubricité.
Il la maintenait constamment sous cantharide de ce fait, elle se trouvait constamment en manque, en manque de rapports sexuels, elle réveillait Omar en pleine nuit pour le supplier d'éteindre le feu qui lui embrasait la chatte.
Le troisième jour, vêtue de sa joie robe bleue ornée d'un galon rose sous la poitrine, douchée de frais, lourdement droguée, elle quittait le bord escortée par Omar et quelques matelots.
Une vedette les attendait long du bord, à un endroit discret, une fois Omar et Laurie à bord, elle fila vers le port. Le gros mexicain les y attendait à bord d'une luxueuse limousine qui les emmena dans la ban-lieue la plus crapuleuse de la ville.
25.000 $ en poche, Omar venait de quitter le propriétaire du bordel très excité après avoir inspecté la marchandise.
Une fois l'affaire réglée, Omar avait sortit une pochette contenant 8 pho-tographies prises lors des différents embarquements sur l"Island of Plea-sure ".
Il avait posé les photos sur la table, le gros mexicain écarquillé des yeux émerveillés, il pointa du doigt deux photos : une ...