1. Trois heures du matin


    Datte: 12/12/2019, Catégories: fhh, jeunes, couplus, inconnu, copains, volupté, Voyeur / Exhib / Nudisme facial, Oral pénétratio, double, fsodo, Auteur: Maldoror, Source: Revebebe

    ... tandis que Quentin étreignait sa bouche, sa main posée délicatement sous le menton de la jeune femme. Elle riait maintenant aux éclats, sans doute chatouillée par les fourmillements mais aussi et surtout amusée par cette situation des plus insolites. Et c’est elle qui avait raison. Partager cette fille avec passion incombait d’aller jusqu’au bout. Je la retournai donc sur le ventre et fourrai directement ma bouche dans sa raie pour gober le foutre qui l’avait éclaboussée.
    
    Passer ma langue dans cette crevasse érotique ne manqua pas de m’exciter à nouveau. Alors je me risquai à la pénétrer une nouvelle fois, enfonçant cette fois mon membre dans sa fente. Encore brûlante de désir, je n’eus aucune difficulté pour l’enfiler jusqu’à la garde. Et comme je sentais ma queue gonfler en elle, étendue sur le ventre en appui sur les coudes, je vis Quentin s’agenouiller devant sa bouche avant d’envahir ses lèvres de petite salope insatiable. J’adorais ces pensées érotiques pendant l’amour, convaincu que les mots pouvaient avoir une réelle importance dans une partie de baise. Puis je commençai à la culbuter de manière frénétique sous ses gémissements étouffés par la queue de Quentin. Et comme la première fois, c’est lui qui explosa tout d’abord, inondant sa gorge de sa semence. Elle le garda en bouche tout au long de ma chevauchée, Quentin maintenant sa tête à l’aide de ses mains posées sur son crâne. Lorsque enfin, je m’éparpillai en elle, en lui tirant une plainte qui secoua ses ...
    ... hanches.
    
    Je me retirai ensuite et m’allongeai sur elle en caressant ses épaules et ses seins, regardant le membre de Quentin diminuer dans cette bouche succulente. Et lorsqu’elle en eut assez, elle repoussa le pénis flétri du bout des lèvres pour se laisser choir sur les draps, les mains en appui sous sa tête. Quentin eut alors un trait d’humour magnifique qui nous plongea dans un fou rire général…
    
    Nous riions tous de bon cœur et, après avoir terminé la nuit au champagne dans la chambre – Quentin en conservait toujours pour les grandes occasions, se privant parfois de déjeuner pour les acheter – nus et ivres de bonheur, abordant la littérature et les films que nous avions aimés sans échanger un seul mot sur nos commodités personnelles, nous nous endormîmes, enchevêtrés, comme les trois amants que nous avions été.
    
    Le réveil fut tout aussi beau. Quentin était parti de très bonne heure à la fac, je l’avais entendu grogner lorsque l’alarme de son portable s’était mise en route dans son atelier. Du coin de l’œil, je l’avais observé sauter dans ses vêtements éparpillés sur le sol, au milieu des habits de la jeune femme, et filer comme l’éclair, les cheveux en bataille. Je m’étais ainsi levé quelques heures plus tard, aux environs de onze heures du matin.
    
    Elle était dans la cuisine, assise devant un mug de thé, une tartine de miel dans la bouche. Drapée dans une immense serviette de bain, ses cheveux humides coulaient en cascade sur ses épaules dénudées. Nous échangeâmes ...
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