1. Maryse, naissance de la perversion (6)


    Datte: 12/12/2019, Catégories: fh, extracon, photofilm, Oral fgode, pénétratio, fsodo, fsoumisah, Auteur: Lecteur, Source: Revebebe

    ... l’appareil photo. M. Francis n’en revient pas. Il prend autant de clichés qu’il le peut. Il se dit que cette femme est insatiable. Elle empoigne le gode à deux mains pour se pénétrer. Il voit ce gros sexe déformer le sexe de cette femme qui était si réservée la première fois qu’il l’a vue. Il jubile de l’avoir libéré sexuellement et de pouvoir en profiter. Elle continue de se masturber les jambes bien écartées, puis elle augmente la vitesse du gode et elle jouit bruyamment sous les assauts de ce sexe mécanique.
    
    Elle est épuisée. Elle se rend compte que l’après-midi est déjà bien entamée mais elle n’ose pas mettre dehors son amant. C’est avec soulagement qu’elle le voit se relever, s’habiller. Il la regarde et lui dit :
    
    — Quand peux-tu revenir me voir ?
    
    Maryse hésite à lui répondre. Une part d’elle ne veut pas s’engager dans cette relation, l’autre se dit qu’elle y est déjà. Elle culpabilise mais elle n’est pas prête à laisser tomber toutes ces sensations.
    
    — Je suis libre le mercredi après-midi…
    — Il va falloir que tu trouves du temps en plus. Nous n’en avons pas fini tous les deux ! Une nana comme toi a besoin de sexe. Débrouille-toi pour venir me voir avant.
    
    Il sort de la chambre. Elle le raccompagne toujours nue et maculée de sperme. Elle lui demande d’être discret. Il en rigole. Il sort de la maison le plus naturellement du monde. Elle le suit du regard par la fenêtre. Quelques instants plus tard sa voisine fait son apparition. Heureusement qu’il n’est ...
    ... pas sorti de chez elle plus tard, il aurait été surpris par cette concierge. Maryse se dépêche de remonter dans sa chambre pour remettre de l’ordre. Le drap est tout froissé et taché, elle doit le changer. Elle ouvre en grand la fenêtre pour aérer la pièce qui dégage une forte odeur de sexe.
    
    Il faut qu’elle cache son gode qu’elle décide finalement de garder tant il lui a apporté de plaisir.
    
    Après la chambre, elle doit prendre une douche. Elle s’abandonne au plaisir de sentir l’eau couler sur sa peau et ne voit pas le temps passer. Elle s’affole en voyant l’heure tardive. Elle s’habille en vitesse et descend à la cuisine pour préparer le dîner. Elle fera simple, elle n’a pas le temps de faire autrement.
    
    Son mari rentre un quart d’heure plus tard alors qu’elle s’affaire à préparer le dîner. Il dépose sa sacoche dans l’entrée et commence à lui raconter sa journée interminable. Il s’assoit à la table et tout en lui donnant les détails de sa dernière réunion, il lui fait remarquer qu’il y a de la sauce par terre. Maryse reçoit comme une décharge électrique. Elle se retourne en essayant de cacher son affolement. Elle se précipite pour effacer les traces qui pourraient trahir la fellation qu’elle a offerte à M. Francis un peu plus tôt dans la journée. Son mari lui demande si tout va bien car elle semble perturbée.
    
    — Ce n’est rien. Le travail. J’ai pas mal de dossiers à traiter, je pense que demain je vais devoir rester plus tard. Je n’aime pas ça… mais bon, là il faut ...