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DAMIEN III
Datte: 12/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: ANDRERP95, Source: Hds
... jusqu'à l’os. Je l’ai embroché comme un poulet. Je ne sens rien, la douleur oblitère toute sensation. J’ai du mal a retrouver ma respiration. J’ai l’impression d’avoir du feu dans le ventre. Je gobe de l’air frénétiquement. Cette barre dans mon ventre casse tout mouvement de rébellion. Je retombe inerte sur les draps. Une bouche contre mon oreille - Cela ne te sert plus à rien de défendre. Maintenant t’es une vrai fatma. Tu ferais mieux de ne pas trop bouger et de me laisser faire. Sinon tu vas avoir encore plus mal. Tu vas voir comme c’est bon après. Elles disent toutes ça après. Je vais te donner à fumer. Comme ça tu sentiras moins. Il reste immobile en moi. Je n’ai plus envie de rien comme si, le fait d’avoir été sodomisé m’avait enlevé toute tentative de révolte. Je n’ai plus la force de crier ou de me soustraire au bâton brûlant qui est enfoncé en moi et que je commence à sentir. Je sens aussi des poils contre mes fesses. On me met une cigarette entre le les lèvres. Je fume difficilement. - Vas-y aspire bien. Tu vas voir comme c’est bon. J’obéis. La douleur s’estompe un peu. Je sens mon anus se tendre autour de cette bitte conquérante et j’ai peur qu’il se déchire. Les jambes s’écartent plus m’obligeant à m’ouvrir encore plus. - Reste comme ça et tends bien ton cul. Je vais bien te niquer le tarma.Tu vas voir comme je vais bien te casser le cul. Nous on sait que les français qui te ressemblent adorent se faire prendre le derrière. Le bassin de ...
... l’arabe commence à bouger au-dessus de mes fesses meurtries. Il va très lentement. La douleur revient et me fait gémir. Je sens une barre dure et chaude sortir lentement avant de revenir dans mon ventre. L’huile qu’ils ont badigeonné sur ma raie remplie parfaitement son office de lubrifiant. J’ai l’impression qu'on me vide de l'intérieur puis qu’on me remplit. C’est une sensation étrange et, ma grande surprise, la douleur d’abord violente diminue petit à petit au fur et à mesure des vas et viens. Le gland ouvre le passage et fore mes reins. Mon anus s'assoupli rapidement. Impossible de retenir les pets qui s’échappent à chaque coup de reins. J’ai honte. Honte d'être là, de ne rien faire pour me révolter. Honte, de subir en silence cette loi du mâle. Honte de la rapidité avec laquelle mon cul s’est ouvert. Honte de sentir cette bitte s’enfoncer sans aucun problème au fond de mon ventre. Je suis un enculé. Un mec est en train de m’enculer. Un type est en train de me planter sa bitte au fonds de mon ventre. Et je ne fais rien pour me défendre. Je reste inerte sur ce lit, bras et jambes en croix, à la merci de ce sexe qui peu à peu trouve sa place dans mon intimité violée. La bitte va de plus en plus vite. Je ne tourne même pas la tête pour savoir qui est sur moi. La douleur est toujours là, mais elle reste très supportable malgré l’accélération. - Ma parole, il a le cul aussi ouvert que la chatte d’une femme. J’arrive à lui enfiler mon zob jusqu’aux couilles. Il va ...