1. Je n'ai plus rien à me mettre


    Datte: 11/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Crabou, Source: Hds

    ... vais souffrir beaucoup plus cette fois mais dans l’état où je suis, je veux que ce fouet me fasse l’amour. La bosse déforme le pantalon de Pol qui ne perd pas une miette du spectacle que je lui offre prouve que lui aussi apprécie le spectacle.
    
    Pour être sûr de pouvoir aller jusqu’au bout, il faut que je modifie ma position car je n’ai pas l’habitude de ce genre de fouet. M’adressant à Pol :
    
    - Monsieur, voudriez vous bien prendre une chaîne dans le rayon là plus loin et la fixer à la barre au-dessus de moi svp ?
    
    Quand c’est fait, je me place dos au miroir cette fois et j’enroule la chaîne autour de mes poignets. Je veux que Pol et la femme du couple voient bien la lanière du fouet s’enrouler sur mon corps et le bout venir frapper mon ventre, mes seins, mes cuisses ou mon sexe au gré de mon tortionnaire.
    
    La lanière siffle et une dizaine de coups s’enchaînent assez rapidement avec un crescendo dans leur force. Des larmes coulent sur mes joues. La douleur est intense, plus encore que ce que j’avais prévu mais elle fait encore monter mon excitation me portant au bord de la jouissance.
    
    Les doigts de la femme se posent sur mon corps et suivent les marques laissées par le fouet. La cyprine rend mon sexe luisant et cela ne lui échappe pas. Ses lèvres rejoignent les miennes en un baisser léger. Elle chuchote à mon oreille :
    
    - Supporteriez vous encore deux coups mais sur des endroits plus sensibles ?
    
    Un petit hochement de tête en fermant les yeux lui signifie mon ...
    ... accord. Sa main descend le long de mon dos. Je me cambre et elle m’écarte les jambes. Dans les yeux de son mari, je vois à nouveau qu’il a compris le message. Il prend son temps, son regard ne quittant pas le mien dans le miroir. Son bras ne tend, la lanière vole, vient s’enrouler sur son dos mais surtout frapper mes seins y laissant une longue marque rouge. Je crie.
    
    Je reprends ma position. Cette fois, c’est le regard de la dame que je cherche pour y puiser le courage nécessaire pour le dernier coup. Il ne se fait pas attendre. Il est encore plus appuyé que le précédent et prouve toute la maîtrise de l’homme dans le maniement de ce fouet. La lanière enlace mes fesses, s’enroule sur ma cuisse et vient achever son parcours sur mon sexe.
    
    Je lâche la chaîne. J’ai mal mais je suis heureuse d’avoir été jusqu’au bout. Mon mari se manifeste :
    
    - Bonjour, c’est ma femme. Elle mérite bien un peu de réconfort.
    
    La dame ne se fait pas prier. Elle enlève sa robe sous laquelle elle ne porte rien si ce n’est un rosebud et la chaînette attachée à ses seins. Les marques sur son corps attestent qu’elle aussi a été fouettée récemment. Ça explique la lueur que je voyais dans ses yeux pendant que son mari me fouettait. Un petit bijou est attaché à une des lèvres de son sexe complètement lisse.
    
    Elle m’embrasse langoureusement, caresse mes seins, sa langue tentant d’apaiser la douleur occasionnée par le fouet. Je la pousse à descendre sur mon sexe. J’empoigne vigoureusement la chaînette ...
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