Les aventures de Françoise (6) - Histoires de Sexe

Les aventures de Françoise (6)

... beaufs cherchant à profiter de sa solitude lors de ses voyages organisés ou dans sa vie professionnelle. Lorsqu'il la quitta, elle ressentit une petite pointe d'émotion. Le reverrait-elle jamais un jour ? Elle avait été si souvent déçue par les hommes. Aussi tenta-t-elle un coup d'audace qui la surprit elle-même : elle invita Guillaume à déjeuner. Non seulement le jeune homme accepta, mais il lui fit la bise en la quittant, s'attardant au coin de ses lèvres, ce qui la fit frissonner. Le soir même, il lui rapportait la roue réparée de sa voiture, la replaçait et rendez-vous fut pris le lendemain, qui était un dimanche.

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Guillaume s'empressa de rendre compte des événements à Françoise :

- Eh ben dis donc, lui dit-elle, tu n'as pas perdu de temps. Cela a été plus long avec moi, hein, cochon. Elle te plait, la Legrand ?

- Ben quoi, c'est bien ce que tu voulais, non ? Que je la séduise et que je couche avec elle ?

- Oui mais attention, il ne faut pas rater ton coup. Vas-y mollo, il ne faut pas qu'elle se méfie. Après ton déjeuner, emmène-la se balader à la campagne. Gérard te suivra avec son appareil photo. Essaie au moins de lui rouler une pelle, qu'on fixe ça sur la pellicule. Cela pourrait nous rendre service.

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Le déjeuner, pris dans une guinguette, fut particulièrement agréable à Guillaume, peu habitué aux festins. Fabienne Legrand l'intéressait de plus en plus. Elle avait revêtu ce jour là une robe lui arrivant à mi-cuisses, dégageant ...

... totalement ses épaules. Il fut vite convaincu qu'elle ne portait pas de soutif. Ses ongles laqués de rouge, aux mains comme aux pieds, lui donnaient un air très classe. Elle cherchait à plaire, c'était évident à ses yeux : "froide, cette nana ? Tu parles. Le feu sous la cendre, oui. Elle doit juste manquer de bite. Je vais te la défoncer, elle va voir qui est le popaul", se disait-il en la regardant manger son dessert à petites bouchées.

De son côté, Fabienne Legrand, le saint émilion aidant qu'elle avait abondamment consommé, se sentait de plus en plus émoustillée par la présence de ce beau gars serviable que son âge ne rebutait pas. "Pour une fois que je ne suis pas avec un vieux con à gros bide", se disait-elle. C'était même un peu trop beau pour être vrai. Allait-il la laisser en plan après le déjeuner ? Les ondes de chaleur qui envahissaient son bas-ventre ne la trompaient pas. Elle avait envie de baiser avec ce mec. Sous la table, ses cuisses s'écartaient et se refermaient spasmodiquement. Elle se serait masturbée si elle avait été chez elle seule. Depuis combien de temps n'avait-elle pas vu une bite ? Ah oui, un compagnon de voyage en Inde il y a six mois, seul comme elle et de son âge, qui était venu la sauter dans sa chambre un soir qu'elle était en "single". Vite fait et pas très bien fait. En sirotant son café, les yeux brillant de désir derrière ses lunettes, elle se demanda comment était la bite de Guillaume. Longue et fine ? Courte et épaisse ? Longue et épaisse ? ...