Le peintre et sa muse chapitre 1
Datte: 21/03/2018,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Le relieur, Source: Hds
LA RENCONTRE
(l’histoire d’un peintre et de sa muse).
Ce soir là dans une grande galerie de la ville se déroule le vernissage de mon exposition.
Oui, je suis François, un peintre coté dans le milieu artistique.
Cette exposition n'est pas une obligation financière pour moi, c’est plutôt un moment privilégié pour y faire des rencontres, rencontrer d'autres artistes, faire connaissance avec des amateurs d'art, parfois y trouver un modèle, bien que je préfère le plus souvent louer les services d’un modèle professionnel.
Moi, je suis célibataire, plutôt bel homme comme on dit portant bien comme l’on dit la cinquantaine passée mais le sport et les repas équilibrés me conservent encore fière allure. Ancien marin, et peintre de la marine j’ai pas mal bourlingué et depuis pas mal d’années j’exerce encore le métier d'artiste peintre. Ma réussite dans ce domaine et ma cote me permettent d’être très à l’aise du point de vue financier. Mais aussi d’avoir une certaine liberté, ce qui est un atout non négligeable pour un homme seul comme moi, et plutôt porté sur le beau sexe, oh !pas les minettes, ni mes modèles, je ne mélange jamais travail et
sexe.
Non, je suis le plus souvent attiré par les femmes plus mûres, celles de mes amis qui bien souvent les délaissent, mais il m'arrive aussi parfois d'être attiré par une cliente.
Ce soir-là, tout en discutant avec des clients et amis, une coupe de champagne à la main, je suis interrompu dans une conversation, ...
... d’ailleurs sans intérêts (pure politesse), par mon agent qui tient à me présenter un couple potentiellement intéressé par une de mes aquarelles.
Je salue poliment le Monsieur, un homme approchant les 70 ans il me semble, un peu bedonnant, qui est habillé d'un ensemble veste pantalon qui fait chic. Sa femme, du
moins je le suppose, semble plus jeune, quadragénaire peut être. En jetant un œil sur la dame, je devienne une personne qui a du charme, un sourire et surtout un regard lumineux. Sa façon de se tenir déclenche une petite étincelle dans ma cervelle.
Voilà une proie bien désirable me dis-je et je passe du statut de peintre connu à celui delion tapis dans les fourrés n’ayant d’yeux que pour une gazelle bien imprudente.
Tandis que mon agent commence à discuter gros sous avec le Monsieur, car j'ai compris que le couple désire acquérir une de mes toiles, j’entraîne cette appétissante dame en lui disant : « Venez me montrer le tableau que vous souhaitez acquérir et nous pourronsen discuter tous les deux ! ».
Et je la prends par le bras juste au-dessus du coude, là où la chair est tendre.
Elle est vêtue d'un beau tailleur composé d'une jupe courte et d'une veste fermée en v.
Elle a des escarpins assez hauts ce qui lui donne une cambrure de rein incomparable.
Un peintre, un sculpteur ou un coureur de jupons y sont très sensibles, quel érotisme dans la courbure du dos.
Nous nous éloignons ainsi, je la tiens toujours par le bras et elle n’a pas de mouvement de ...