1. Hypnose Mécanique 04


    Datte: 09/12/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byliviolheure, Source: Literotica

    ... la DJ et attends moi. Les autres rhabillée vous, mais ne bougez pas.
    
    La salle une compte quatre cents filles. Pour la plupart pas très vieille, environs vingt-cinq ans de moyenne d'âge. La moisson est meilleure, j'en sélectionne treize. Deux ont eut un gode dans les deux orifices, une seulement dans le cul, les autres ne l'ont connu que dans la chatte. Une fois encore, j'envoie les filles sélectionnées devant la DJ, alors que les autres se rhabillent, attendant la suite. Je suis content, je ne sais pas si j'en trouverais chez les vierges, mais j'ai déjà quatorze putes pour les bars. Je suis ravi, en plus, je sais qu'il y a soixante pucelle, je ne m'attendais pas à autant.
    
    Quand j'entre dans la dernière salle, je suis surpris. Les filles sont jeunes, entre dix-huit et vingt ans. Mon choix est très dur, elles sont toutes bandantes. Il me faut sept filles, mais je ne peux descendre en dessous de neuf. J'en ai deux de trop. J'envoie quand même les filles rejoindre la DJ, tandis que les autres se rhabillent et attendent. Je les regardent toutes, puis j'ai une idée. Deux d'entre elles resteront chez moi, à la disposition de mon père et moi, tandis que les autres iront travailler. J'ordonne à mon groupe de sélectionnée de se rhabiller et d'aller m'attendre au bar en face de la boîte de nuit. J'appelle mon père pour lui dire qu'il nous rejoigne. Quand les filles sont sorties, sous la surveillance de Lin, mais toujours toutes en transe, je remets le micro en marche.
    
    - ...
    ... Mesdames, vous allez revenir à vous. Mais vous reviendrez toutes ici, tout les samedi, je pourrais avoir de nouveau mon marché à faire. Ma présence ne vous dérangera pas la prochaine fois que je reviens. Maintenant revenez toutes à vous, reprenez votre soirée, oubliez toutes ce qu'il c'est passé ce soir.
    
    Sur ce je suis sorti de la boîte de nuit, tandis que la musique reprend, que les filles se mettent à danser. Dehors, je fais le même discours aux cinq vigiles, elles en me gêneront plus chaque fois que je reviendrais, si je reviens. Je traverse la rue, je me rends en face. Les vingt-trois filles sont toutes assises en silence, un verre devant elle, le regard toujours vide. Mon père arrive dix minutes plus tard. Il regarde les filles interloquée.
    
    - C'est qui?
    
    - Les putains pour Radiu et toi.
    
    - Merde, il n'y a que des canons. Mais il y en a pas un peu trop?
    
    - Oui, c'est volontaire, deux d'entre elles resteront à la maison, pour nous servir de vide couilles.
    
    - Superbe idée, lesquelles?
    
    - On fera tourner.
    
    - Parfait.
    
    - Papa, prend Lin avec toi, allez-y, il faut que je leurs parle.
    
    - Je ne peux pas rester?
    
    - Non, je ne préfère pas.
    
    - Comme tu veux fiston, c'est toi qui dirige.
    
    - Lin, laisse-moi les clés de ta voiture, je passe te prendre lundi matin.
    
    - D'accord.
    
    La japonaise me donne les clés de sa caisse, si j'ai le permis, je n'ai pas de voiture. Enfin, si, maintenant j'en ai une. Quand mon père et Lin sont partis, je regarde les filles.
    
    - ...
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