Hypnose Mécanique 04
Datte: 09/12/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... dirige vers le couloir d'où l'on vient de sortir. Même pas deux minutes, que cette chienne à déjà un client. Elle part au fond du bar, direction le couloir aux chambrette, avec un immense black. Je suis étonné de voir mon père, assis seul à une table.
- Radiu, il y a mon père, on va le voir?
- Avec plaisir.
Mon père nous sourit quand on s'assoit. Le roumain fait signe au barman de nous mettre trois verres.
- Tu es là papa?
Ben oui, je m'ennuie seul à la maison. Martha travaille tout les soirs. Ta sœur n'est pas là le week-end, elle rentre tard la semaine. Je la baise à peine, surtout que la nuit, elle dort avec toi.
Je n'ai pas pensé a ça. J'aime beaucoup mon père. J'ai une idée.
- Radiu, ça te dirais pas d'ouvrir un second bar comme celui-là?
- Oui, j'ai les moyens, mais il faut trouver les filles.
- Si je te trouves toutes les remplaçantes pour tes filles d'ici, plus une dizaine pour le nouveau bar, ça te dirais?
- Bien sur. Mais je fais quoi de mes filles qui bossent ici?
- Tu les virent, de toutes façon, un jour ou l'autre elles te planteront. Alors autant que tu prennent les devants.
- D'accord ça marche pour moi.
- Super, et toi papa, ça te dis?
- Putain que oui, une dizaine de putes que je peux baiser à l'envie, ça me branche. On commence quand?
Radiu répond le premier.
- J'ai déjà un second bar, pas besoin de travaux, suffit juste d'y mettre des putes, car pour l'instant c'est un bar normal. Alors ça dépend de toi ...
... Jonas.
- Ben je dirais que l'on pourrais ouvrir samedi prochain, mais je vous confirme ça dans la semaine.
Un sourire radieux envahit le visage des deux hommes. Radiu à l'idée du fric en plus qu'il se ferait, mon père, à celle de tout les trous de putains qu'il aurait prochainement.
Je fais rapidement les comptes, il me faut trouver vingt et une filles. Je me demande où je vais pouvoir trouver cette marchandise. Ça m'embête de les prendre soit dans l'université où je bosse, soit dans celle où je suis étudiant. A ce moment, Lin sort du couloir, le black sur ses talons. L'asiatique est toujours vêtu seulement de sa culotte. Elle marche en canard, j'ai l'impression qu'elle boite. Je souris, ce gars a dut lui défoncer le cul. Cette pétasse hésite, se demande si elle doit retourner s'asseoir sur un des tabourets devant le bar. Je vais pour lui hurler de se dépêcher, que d'autres clients attendent une bonne putain lesbienne comme elle, quand l'idée du siècle me viens. Je lui fais signe de venir s'asseoir avec nous. La jeune japonaise m'obéit.
- Bon, j'ai changer d'avis, tu ne commenceras la prostitution que lundi soir.
Un immense sourire envahit le visage de Lin.
- Merci.
- Ne me remercie pas, tu seras à la disposition de mon père.
- D'accord.
De nouveau, Lin baisse la tête, elle a espérée que ce serait avec moi qu'elle passerait le week-end. Mais mieux vaut un seul homme, que des dizaine. Enfin, ce n'est que partie remise, elle n'a gagnée que deux nuits de ...