Hypnose Mécanique 04
Datte: 09/12/2019,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byliviolheure, Source: Literotica
... jours plus tôt. Elles m'auraient traitées avec dédain, se seraient moquées, voir se seraient montrer méchante. Là, elles n'étaient plus que des trous à bites, mes trous à bites. J'avais fait un bon choix, les deux jumelles étaient les meilleures coup du groupe. Elles ont dix-huit ans, elles s'appellent Cindy et Laure. On a baiser toutes ces putains jusque à vingt-trois heures, chacune a vue ses orifices violés plusieurs fois. Une fois tous vidés, les hommes sont rentrés chez eux. Je suis rester seul avec les filles. Toutes étaient allongées sur le sol, pleurant de tout leurs corps, choqués au plus haut point. Je les ai remis en transe.
- Mesdemoiselles, vous allez rentrer chez vous. Vous n'oublierez pas ce qu'il vient de ce passer ce soir. Mais aucune ne portera plainte. Vous n'en parlerez à personne. Compris?
- Oui.
Comme à chaque fois, la réponse fut chorale.
- Je vous terrorise, vous accepterez tout de moi, même de vous prostituer. Compris?
- Oui.
- Parfait, n'oubliez pas notre rendez-vous de demain. Rentrez-toutes chez vous, oubliez notre conversation.
Les filles sont parties chez elles après s'être rhabillées. Moi je suis rentré chez moi.
Quand je suis arrivé, mon père est en train de sodomiser violemment Lin sur la table du salon. Il est vraiment insatiable niveau cul. La japonaise n'est toujours pas habituée à se faire enculer. Il suffit d'entendre ses cris pour s'en rendre compte. Je m'approche d'eux, je soulève la tête de Lin par les cheveux. ...
... Elle me jette un regard emplit d'horreur et de douleur.
- Quand mon père en a finis avec toi, viens me rejoindre. Ne te lave pas.
- D'accord.
Elle me rejoindra une heure plus tard. Pour se faire casser le cul par moi.
J'ai appelé Siobanne le lendemain matin pour qu'elle vienne chercher Lin. Je n'avais pas envie d'aller en cours. La jeune femme est déçu de ne pas me voir aujourd'hui, surtout que j'ai oublié notre rendez-vous de la veille. Je lui promets de venir la voir aujourd'hui ou demain. Je me suis rendormi jusque à midi. A quatorze heures, j'étais sur le parking du « chat brûlant ». Les vingt-trois filles étaient là. Je les aient mis en transe, leurs ordonnant de me suivre jusque à l'entrepôt Glandasse.Mon père et Radiu devaient nous y rejoindre un peu plus tard. Je leurs avaient téléphoné. Pour dire à Radiu qu'ils prévoient d'ouvrir le bar ce soir, qu'ils virent les autres putes. J'ai dit à mon père que son bar ouvre le soir même. Les deux étaient ravis.
J'ai fait rentrer mon groupe de lesbiennes. J'ai alors commencer mes explications sur leurs futures vies. Après avoir pris à chacune des filles ne vivant pas seule, leur papier avec leurs adresse. Il y en avait treize, j'allais avoir du boulot. J'irais voir chacune des personnes vivant à cette adresse, pour qu'elles acceptent que mes nouvelles putes ne vivent plus chez elles. Pour toutes c'étaient leurs parents. Avec un peu de chance, une mère ou une sœur me plairait. Je les aient fait toutes mettre nue, ...