1. Ma Servitude


    Datte: 09/12/2019, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: bydemale, Source: Literotica

    Certains sont nés pour commander, pour être des chefs ou des patrons. D'autres, comme moi sont nés pour obéir et se soumettre à la volonté des autres. C'est quelque chose en quoi je crois profondément et qui me permet d'accepter mon sort et mon rôle avec joie.
    
    Je suis un esclave. C'est un bien grand mot pour exprimer une servitude librement consentie et portée par le sentiment d'être parfaitement à ma place. Avec le recul, tout ce qui m'est arrivé était juste et nécessaire. Mais n'anticipons pas. Je te prie, cher lecteur, de lire ce qui va suivre avec toute l'ouverture d'esprit dont tu es capable, en gardant à l'esprit que je suis heureux ainsi.
    
    Tout a commencé lorsque j'avais 18 ans. Ayant atteint ma majorité, je m'imaginais être un homme. Je vivais avec ma mère qui m'avait élevé seule et nos rapports étaient conflictuels. Je me révoltais contre ce que je pensais être une tutelle, alors qu'elle essayait juste de me protéger contre moi-même et mes choix désastreux.
    
    Ma mère avait une amie qui s'appelait Joy. Anglaise d'origine, elle était docteur en psychologie et venait souvent à la maison lorsqu'un colloque l'appelait dans la région. Joy était une très belle femme. La quarantaine épanouie, elle était dotée d'une superbe poitrine qui me faisait fantasmer. Je n'avais de cesse de l'épier, ce qu'elle trouvait bien sûr détestable. Par égard pour ma mère elle ne disait rien, mais cela ne faisait que m'encourager.
    
    Un jour, j'étais en train de la regarder par le trou de ...
    ... la serrure de la salle de bain. Nu, je me masturbais frénétiquement. Tout-à-coup, j'ai reçu un coup dans les parties, depuis derrière et je me suis écroulé, voyant 36 chandelles. C'était ma mère, qui s'était glissée derrière moi et m'avait balancé un violent coup de pied dans les testicules. Alors que je me roulais par terre en gémissant, elle me traita de tous les noms, prenant le Bon Dieu à témoin: qu'avait-elle fait pour mériter un sale petit pervers comme moi?
    
    Sur ces entrefaites Joy sorti en peignoirs de la salle de bain et compris immédiatement la situation. Elle se laissa tomber sur moi en me rouant de coups. A elles deux, elles n'eurent pas de peine pour m'immobiliser. Il faut dire que je n'ai jamais été très baraqué. A l'époque, je faisais 1m70 pour 58 kilos tout mouillé.
    
    Une fois que je n'ai plus été en mesure de bouger, elle commencèrent à tour de rôle à me frapper et me pincer, tirer et malaxer mes pauvres couilles et mon petit pénis, disant qu'elles allaient me castrer pour m'apprendre à jouer les pervers. Bientôt je hurlais et suppliais qu'elles arrêtent cette torture, mais elle ne cessèrent qu'au moment où je me recroquevillai sur moi-même en sanglotant.
    
    Je restai ainsi une demie-heure, pendant que les deux femmes allaient se faire une tasse de thé et discuter de ce qu'elles allaient faire de moi. Lorsqu'elles revinrent, elles avaient pris une décision. Ma mère commença par me faire prendre une douche, arrosant les parties d'eau glacée, ce qui atténua ...
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