Soumission en vacances 6 - L’épreuve des 4 éléments
Datte: 09/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Primaq69, Source: Hds
... être sûr de ne pas m’étalé… Être privé de ma vue dans ce contexte était déjà une torture à part entière. On finit par s’arrêter. J’attendais, tendu comme un « i », de savoir ce qui allait m’arriver. Puis elle enleva mon masque.
Je clignais des yeux en accélérer pour m’habituer à la lumière, comprendre au plus vite mon environnement. Elle était juste devant mon, assise sur le bord du transat. Elle était penchée en arrière, les cuisses écartées, se tenant en équilibre sur ses coudes, la tête relevée, la tresse tombant entre ces seins. Elle ne portait plus que ses bottes, ses bas, son porte-jarretelles et ses longs gants.
- « Tu as bien mérité un peu de répit » me dit-elle, « ta dernière épreuve est simplement de me faire jouir »
J’étais abasourdi. Après tous ces traitements, mon cerveau fonctionnait en mode sans échec. Et là, clairement, on était face à une situation qu’il n’arrivait pas à compiler.
- « Tu as peut-être besoin que je te montre comment faire ? Parce que l’autre option c’est que je relance un peu de torture et je me débrouille moi-même en te regardant te débattre tu sais… »
Là, face à la menace, mon cerveau se mis à calculer à grande vitesse. Je m’agenouillais et me glissait en elle sans le moindre effort. Elle poussa un long soupir et d’une injonction m’ordonna d’arrêter de bouger. Elle s’avança pour s’enfoncer au maximum et sentir la partie vibrante de mon cockring contre son clitoris. Elle posait son pied contre mon épaule et, d’une poussé ...
... progressive, marqua le rythme pour que je sorte doucement d’elle. Lorsque le contact avec son pied fut rompu, elle tira sur ma laisse et je m’enfonçai à nouveau en elle. Puis on recommença ce manège.
Avec son alternance pied/laisse elle fixait le rythme, mais c’était moi qui faisait le travail. C’était terriblement excitant. Elle me regarda droit dans les yeux et me tira jusqu’à ce que mon visage soit à quelques millimètres du sien. Nos sexes étaient collés et vibrant l’un contre l’autre. Elle me tenait par le cou en serrant très légèrement et haletait à quelques millimètres de ma bouche. Je crevais d’envie de l’embrasser et elle le savait.
- « Je ne pensais pas que j’arriverais à te dompter aussi facilement ».
Juste ça, entre 2 soupirs. Après toute les tortures que je venais subir, cette réalisation faisait mal : depuis quand j’étais un animal docile moi ? Elle savait que j’étais autant attiré par la domination que la soumission, que je n’étais pas un soumis dans l’âme, « oui-maitresse-merci-maitresse » à me faire écraser les couilles sans aucune compensation 3 fois par jours dimanche compris.
Dans le fond, je ne ressentais presque rien des 2h de tortures de la matinée. Elle a joué avec mon mental encore plus que mon corps. Et là, elle m’adressait une ultime provocation visant à éprouver mon statut de soumis occasionnel ou à me faire basculer psychologiquement dans une position de soumis total. J’avais une poussée de fierté et une envie de rébellion qui poussait en moi ...