Soumission en vacances 6 - L’épreuve des 4 éléments
Datte: 09/12/2019,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Auteur: Primaq69, Source: Hds
... l’heure à la pause. »
Quelle pause ??!
Je ne pouvais malheureusement rien dire et me contentais de gémir, de toute façon c’est tout ce que j’arrivais encore à faire. Elle m’embrassa au coin des lèvres, me caressa le torse, et ressorti de mon champ de vision.
Je senti un gel froid contre mon anus, puis l’insertion d’un objet métallique qui venait pousser les glaçons plus loin dans mon fondement : elle m’avait inséré le spéculum. Puis je le senti s’entrouvrir et, avant que de l’eau ne commence à couler, quelque chose fut introduit dedans et une nouvelle fois aujourd’hui, je compris ce qu’elle comptait faire et pris peur… La bougie. Dans mon cul. L’épreuve du feu.
Et là, un gémissement plus fort que les autres, couplés à un gargouillement de l’eau qui s’écoulait de ma gorge et elle comprit que j’avais compris. J’entendis un bruit de briquet, elle passa devant moi me sécher une larme et déposer un baiser sur le bout de ma cage de chasteté, me donna un petit à-coup pour lancer ma rotation et s’installa dans le transat.
Lorsqu’on se retrouva à nouveau face à face, je la trouvais allongée à me regarder droit dans les yeux, la main dans son shorty en train de s’activer, la bouge entre-ouverte dans une position de plaisir. Et je sentis la première goutte de cire. Je gémis, complètement écartelé entre la sensation de froid dans mon cul et de chaud sur mes pieds. Je compris pourquoi elle m’avait attaché les jambes relevées, elle avait prévu ça depuis le début.
A ...
... chacun de mes cris, elle gémissait un peu plus fort. Elle sortait régulièrement de mon champ de vision et devais avoir une vue imprenable sur mon cul occupé, sur la cire sur la plante de mes pieds, qui ne la laissait pas indifférente.
J’étais complètement démunis. Le filet de bave, le cul rempli et bouché par une bougie, les gémissements... je pouvais voir à quel point ça l’excitait. Après quelques tours, je commençais à faiblir. Plus de gémissements, les glaçons avaient complètement fondu, la bougie s’était éteinte.
Léa avait enlevé son shorty avant de remettre délicatement les attaches de son porte-jarretelles. Après plusieurs minutes à me regarder sans rien dire, elle se leva et s’approcha de moi.
- « Bon mon chou, il est temps de faire une pause »
Je me mis à pleurer doucement. De satisfaction d’arrêter, même temporairement ? de savoir qu’il allait falloir reprendre ? ou simplement les nerfs ? probablement tout ça oui. J’étais dans un autre monde.
Elle me détacha les jambes et me fit descendre doucement en équilibre sur le tabouret. Elle m’essuya délicatement la commissure des lèvres, joua du bout des doigts avec la bave qui avait coulée sur mon torse et pris la parole.
- « Arrête ton cinéma. Tu peux me faire arrêter quand tu veux et tu le sais. Tu veux être là, tu veux me donner du plaisir. Et en échange, tu sais que je vais t’en donner. »
Elle exposait ces vérités sur un ton ferme, même si toute sa gestuelle était pleine d’encouragement et de compassion. ...