Une punition injuste
Datte: 09/12/2019,
Catégories:
Épouses affectueuses,
Auteur: byRobertomaloch, Source: Literotica
... faire ça » Je la retrouvais ma petite femme catholique, de sang latin et pathologiquement jalouse. C'est un petit quiproquo qui l'avait mise dans cet état-là, mais un coup de fil à ma nièce allait dissiper tout ce malentendu pensais-je en m'amusant. Je lui souriais pour lui faire comprendre la méprise.
« Cabrão! Ça te fait rire? Je t'avais pourtant dit que je ne tolèrerai aucune infidélité. Le mariage c'est un lien sacré et toi tu viens de le briser! »
On sonna. « C'est le plombier » Dit-elle toujours en colère. Sur le moment je ne compris pas. Elle vêtu rapidement sa robe de chambre de soie et alla ouvrir. Je l'entendais parler en portugais avec quelqu'un : « Je suis désole de vous faire venir en urgence » « Je vois, encore un problème de tuyauterie encrassée » dit une voix grave en rigolant. « Non, j'ai besoin de vous, pour donner une leçon à mon maris ... Il me trompe avec une autre, et je compte sur vous pour lui montrer ce qu'il risque de perdre définitivement»
Une anecdote du mois passé me revint : un plombier brésilien était venu régler le réchaud pendant que je travaillais. Le soir Sonia s'était plein de ses avances grossières et insistantes durant son intervention, « En plus il était moche et gros » avait-elle ajouté « Ce serait le pire des châtiments »
Le plombier, franchit rapidement le hall je l'aperçus depuis le séjour. Je découvrais un homme noir, ridé, pas très grand (1m70 tout au plus) et grassouillet qui avait largement atteint l'âge de la ...
... retraite. Ses cheveux ondulés étaient encore noir malgré l'âge. Sa moustache bien fournie et sa salopette bleue lui donnait l'air d'un super Mario obèse. Sur sa bretelle, on pouvait lire son nom sur un badge: Léandro Gonzales.
Moi attaché, en caleçon, la scène quoi-qu'invraisemblable ne paraissait pas le surprendre. Je balbutiais comme un idiot, mais le bâillon ne me laissait pas articuler.
«Olá! C'est un beau morceau de femme que tu as là, moço. Dommage que tu ne t'en occupe pas plus» Me dit-il en se collant à ma femme
Sonia était complétement passive, elle sursauta quand la vielle main rugueuse passa sous sa robe de chambre et caressa sa poitrine. Je reprouvais ce geste en grommelant.
« Tais-toi caralho! J'avais bien vu que ta femme n'était pas satisfaite. Tu réfléchiras mieux la prochaine fois avant d'y mettre les cornes »
Léandro avait complétement dénudé le torse de ma femme, il continuait ses assauts sur les seins fantastiques de Sonia. Il les serrait et en tirait sur les tétons. Le contraste entre la peau fine et lisse de la poitrine de mon épouse et les grosses mains ridées du vieux plombier m'angoissait. Il se pencha et aspira le mamelon durci par ses caresses tandis que ses gros doigts se faufilaient dans l'entre jambe de ma femme.
Ma femme, qui jusqu'à présent n'avait rien dit, laissa échapper un soupir prolongé.
« Elle est encore plus humide que le fond de l'Amazonie! »
C'était la première fois, depuis notre mariage, que les doigts d'un autre ...