1. Cauchemar à la villa de campagne 01


    Datte: 08/12/2019, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica

    ... baignent dedans. Tu devrais en faire autant aussi.
    
    - Tu as raison!
    
    Elle me laisse tout seul dans le salon qui est dans la grande véranda. Je me verse un autre verre et je branche un deuxième ventilateur. La chaleur est insupportable et je décide de sortir.
    
    Je vais à la porte de la salle de bain et je dis à ma sœur que je vais faire un tour. Elle me répond ok. L'alcool et la chaleur me travaille. La vue de ma mère et ma sœur m'a excité : Les images de Liza au lac, la vision de la poitrine de ma mère. Je suis frustré, le cœur qui tambourine derrière cette maudite porte que je n'ose pas ouvrir ou même défoncer tant je suis excité. Dire que Liza est là, nue dans sa douche. J'imagine l'eau couler sur sa peau douce, le savon du gel douche couler sur ses petits seins ronds et entre ses fesses rebondies. Et là un élément incroyable et complètement inattendu se produit. J'entends un bruit comme un craquement. Je me retourne et... trop tard. Je suis saisi par les cheveux et on pose un cran d'arrêt sous la gorge.
    
    - Ferme ta grande gueule sinon...
    
    Il fait un signe. Là, des gars avancent prudemment. Les mecs du lac????? Mais que font-ils ici? Personne ne nous a suivi pourtant. Mon agresseur, c'est le métis. Ma sœur est toujours sous la douche, insouciante. Les gars rentrent alors dans la grande véranda et commencent à inspecter les lieux. Mais rapidement, l'un d'entre eux fait un signal aux autres. Oui, ils ont entendu la douche couler.
    
    - On dirait qu'il y'a quelqu'un ...
    ... sous la douche.
    
    Ce même bruit a masqué les voix des gars à Liza. Elle ignore complètement la tragédie qui se prépare. Je suis entraîné dans la véranda par mon agresseur. Ma sœur finit par sortir de la douche, elle a mis sa serviette de bain autour d'elle. Tranquillement, elle se sèche les cheveux, insouciante. Puis elle ouvre la porte en chantonnant. Les hommes se précipitent sur elle. J'entends des hurlements rapidement étouffés et des rires. Ma sœur s'est faite avoir. Les hommes l'entraînent à son tour vers la véranda, la plus vaste pièce. J'entends ce qu'ils lui disent :
    
    - Regardez qui voilà, si on s'attendait!
    
    - C'est la nana au joli petit cul de tout à l'heure!
    
    - Vous? Mais vous faites quoi ici?
    
    - Bonne question... héhé!
    
    Ils commencent à tirer sur sa serviette chacun de leur côté tout en rigolant. Liza se défend comme elle peut tout en sachant que s'est vain. Elle retient la serviette pour préserver sa nudité. Elle met des coups de pied à droite et à gauche. Ça amuse ses agresseurs.
    
    - On ne pensait pas te trouver là petite salope, on voulait juste voir si on pouvait piquer des trucs dans cette baraque. En fait, on s'est même planté de route pour aller sur Marseille. Et voilà que t'habites là : pas de chance.
    
    Ils rient.
    
    - Maintenant, enlève ta serviette où on va le faire et ce ne sera pas convenable.
    
    Les larmes aux yeux, Liza renifle et les autres s'impatientent.
    
    - Magne-toi! Allez!
    
    Apeurée, Liza ôte sa serviette de bain et dévoilent tous ...
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